Doctoresse
Datte: 04/05/2021,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
Auteur: byromane, Source: Literotica
C'est l'histoire originale que j'ai traduis dans la langue de Shakespeare (Dotoress). Vous la trouverez dans la section "Lesbian Sex". Je vais désormais mettre les deux textes afin que ceux qui aiment la langue de Molière en profitent également.
DOCTORESSE
Cela fait deux ans que je me suis installée à mon compte dans une petite ville du sud de la France. J’eus 2 à 3 mois de difficile le temps de me faire une clientèle et le bouche à oreille aidant…
Je suis célibataire et je sais que les gens se demandent ce que peu bien faire une femme, la trentaine, seule dans une si petit village. Afin de ne pas faire jaser, je me rends quelques samedi en boite dans la ville la plus proche et là je trouve de quoi me satisfaire. Je ramène de temps en temps mes amants, le temps d’un week-end afin que mes patients et concitoyens ne se pose pas trop de question sur mes mœurs. Mais j’aime mon célibat. J’ai d’autre aventures et c’est ce que je vais vous raconter.
Pour les vacances estivales, je prends de jeunes infirmières, encore étudiantes, comme assistantes et secrétaires. Cette année là, j’avais pris une jeune fille ravissante, brune, le corps bien fait. Elle travaillait bien.
On sortait ensemble en boite de nuit le samedi soir et pour mon plus grand plaisir, on nous prenait pour deux sœurs jumelles bien que je sois blonde et que ma poitrine soi plus menu que la sienne. Elle claquait du doigt et elle avait plusieurs chevaliers servant à ses pieds. Elle semblait aimer le sexe et ...
... les cernes qu’elle arborait certain matin, me faisait deviner une nuit assez mouvementée. Je rentrais souvent sans elle. Je la taquinais toujours sur ses nuits agitées, mais dès que l’on se retrouvait dans mon cabinet, je redevenais la patronne.
Je m’adonnais de temps en temps au saphisme, si je trouvais la fille attirante. Cette fille me plaisait beaucoup, mais je ne savais comment faire pour goûter moi aussi à ces charmes.
Le contrat arrivait de plus en plus à son terme. Il y avait de moins en moins de patients parce que les vacances se terminaient. Elle allait bientôt partir et cela me chagrinais beaucoup.
Un jour, alors qu’il y avait un trou de deux heures, je l’appelais dans mon cabinet.
-Marie? »
-Oui docteur! »
-On a un trou de deux heures. Pouvez vous venir me donner un coup de main afin de faire l’inventaire? »
-Pas de problème docteur! »
Elle arriva dans le cabinet et on se mit on travail. La belle portais une paire de bas ce jours trouvant que le temps était frais. Moi j’étais en ébullition avec elle dans mon cabinet. Je regardais à la sauvette ses fesses et sa poitrine nue à travers l’échancrure de la blouse. De temps en temps, je profitais qu’elle regarde dans un placard en hauteur afin de me coller à son corps dans son dos. Elle fut surprise la première fois, mais après elle poussait le vice à dodeliner des fesses et à accentuer la pression sur mon bas ventre quand j’étais dans son dos.
On attaqua l’inventaire des tiroir sous la table ...