1. la belle mère suite


    Datte: 04/05/2021, Catégories: Mature, Inceste / Tabou Auteur: G12, Source: xHamster

    ... prestation.
    
    Excité par la docilité dont elle avait fait preuve, j’éjaculais assez vite en son ventre, répandant au fond de son trou ma semence bouillante qui réchauffait ses entrailles. J’y déversais jusqu’à la dernière goutte et je me retirai d’elle, pour lui laisser le temps de préparer notre dîner.
    
    Pendant qu’elle cuisinais, elle se plaint de sentir le sperme lui couler le long des cuisses, mais je lui interdis de s’essuyer, lui disant qu’elle s’y habituerait. De temps en temps pendant le repas, quand elle s ‘approchait pour me servir, je glissais mes doigts entre ses cuisses pour me rendre compte qu’elle était bien trempée. Je la sentais gênée, mais malgré de faibles protestations je ne cédais pas.
    
    Je me rendis compte que son air sévère et hautin n’étaient qu’une façade et qu’elle était foncièrement docile. Je me promis d’en profiter le plus possible, sachant désormais ses points faibles.
    
    Nous avons passé la soirée à baiser sur son grand lit de satin rose, la première fois je l’ai prise dans la position du missionnaire, très classiquement. Ensuite, je la fis venir sur moi pour me chevaucher, me délectant de la voir monter progressivement vers la jouissance, ma bite bien figée au fond de ses entrailles.
    
    A chaque fois je déversais en son vagin mon sperme abondant et chaud, lui tirant de petits cris effrayés quand les saccades crachaient ma sève fiévreuse.
    
    Il était encore plus de minuit lorsque je regagnais ma chambre, depuis déjà un moment de lourds ...
    ... ronflements m’avaient signalé l’endormissement de ma belle mère. J’étais resté là un long moment à la regarder dans ses détails les plus intimes. Sa poitrine plate me fascinait malgré moi, je n’aimais pas ça, mais ces deux tétons surgis de nulle part au milieu d’aréoles sombres exerçaient une attirance de mon regard.
    
    Son sexe était plus classique, c’était deux parties d’un abricot bien formé et bien renflé. Les poils ne le couvraient pas entièrement et la fente courait du pubis jusqu’à l’entrée sombre de son anus. Celui ci était rose, de petites rides rayonnaient partant de son trou vers l’extérieur, comme une cible miniature que je me promettais de viser très bientôt.
    
    A cette pensée je repartais dans une bandaison ardente et je me mis à me masturber au dessus de son corps, toujours ronflant. Il ne me fallut pas longtemps pour jouir une nouvelle fois entre mes doigts et le sperme coula sur son fessier, formant un ruisselet laiteux qui s’étendit entre les lobes des ses fesses que j’écartais afin de lui tartiner l’anus de cette nouvelles livraison.
    
    *
    
    Je ne me réveillais pas avant dix heures le matin suivant, ces baises à répétition m’avaient un peu épuisées. Les yeux encore tout englués de sommeil je sors de ma chambre pour tomber nez à nez avec ma belle mère sortant de la salle de bains. Je bredouille un bonjour mal assuré, ébloui par la lumière du jour tout en l’embrassant. Elle est toute pomponnée, parfumée, maquillée, prête à sortir faire ses courses. Moi je suis tout ...
«12...456...14»