1. la belle mère suite


    Datte: 04/05/2021, Catégories: Mature, Inceste / Tabou Auteur: G12, Source: xHamster

    ... strictement plat. Sous le tissus soyeux je sens ses tétons, seuls protubérances de cette poitrine. Je titille la pointe sous mes doigts et aussitôt ma belle mère se met à gémir.
    
    _ « Non Jean-François, pas ça, pas maintenant, j’ai des courses à faire, il faut que j’y aille. »
    
    Je n’ai pas lâché le morceau aussi facilement et j’ai continué à la peloter encore un moment malgré ses protestations, tirant de sa gorge des râles de plaisir et de dépit tout à la fois.
    
    Quand je l’ai estimée assez chaude je lui ai rendu sa liberté, elle était rouge d’excitation et elle a littéralement fuit, la chatte très probablement bien mouillée.
    
    *
    
    La journée se passa lentement, finalement, j’avais hâte que Maud sorte de cette clinique et que nous reprenions notre vie normale. Mes petites soirées avec Belle maman étaient certes forts réjouissantes mais son corps ne m’inspirait guère, sa poitrine plate surtout, moi qui aimais par dessus tout les gros seins, j’étais frustré par ce poitrail d’adolescent de ma belle mère. Je préférais de loin les nichons bien gonflés de sa fille. Je ne pouvais d’ailleurs pas m’empêcher d’y glisser mes mains pour tâter sa chair chaude et élastique sous sa chemise de nuit, au point de déclencher une envie de sexe chez la jeune accouchée.
    
    Comme la veille, nous fîmes notre petite affaire dans la salle de bains, à l’abri de visiteurs intempestifs. Du moins le croyons nous, car à peine avais-je joui dans la bouche de ma femme, que la porte de la chambre ...
    ... s’ouvrait sur ma belle mère.
    
    Nous sortions un peu gênés de la salle de bains sous le regard stupéfait de belle maman. Elle ne dit rien néanmoins, très femme du monde sur son quand à soi.
    
    Mais le soir, dans son appartement, dès que j’en eu fermé la porte, je me heurtais à son regard narquois et ce rictus qui fleurissait au coin de ses lèvres minces : « Alors Jean-François, vous avez eu ce que vous vouliez ? Maud vous a vidé les couilles ? »
    
    D’abord terrassé par ce langage cru, j’en demeurais pétrifié, la bouche ouverte sans que je ne puisse sortir un mot. « Ne faites pas cette tête Jean-François, je connais le sens des mots moi aussi, ce n’est pas parce que je suis votre belle mère que je suis incapable de vous dire bite et couilles ! »
    
    Je finis par sortir trois mots indignés, « Je fais ce que je veux avec ma femme » tout cela débité d’une voix blanche.
    
    « Et avec votre belle mère, Jean-François, vous faites quoi ? » me répondit elle en se pendant à mon cou. « J’ai mouillé pour toi toute la journée, avec mon cul à l’air, je sentais le vent passer entre mes cuisses, et chaque fois je pensais à ce que tu pourrais me faire. J’ai eu honte de sortir sans soutien gorge, je sais, il ne sert pas à grand chose, mais je suis une femme et un soutien gorge est un vêtement que portent les femmes, sans lui je me suis sentie nue, simplement parce que tu m’as dit de ne pas en mettre. Jean-François je t’ai obéi, je n’ai cessé de penser à toi toute la journée pour en fin de compte te ...