1. Le manoir du péché (5)


    Datte: 04/05/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    Comme je le faisais tous les matins, je me suis pointer jusqu’au manoir pour ouvrir les 28 volets. J‘y ai croisé bien sûr, la comtesse. Elle était en train de prendre le petit déjeuner en compagnie d’une de ses filles, et de son époux. Je l’ai trouvé très radieuse. Comme elle l’avait été lors de notre ébat. Mais le plus drôle pour moi, fut l’instant où j’ai serré la main de Monsieur. Celle qui avait tant donner de plaisir à sa femme.
    
    - Alain ! M’interpela-t-il. Vous allez sans doute avoir la visite de mon autre fille dans quinze jours. Elle viendra avec sa petite famille passée les fêtes de fin d’année. Veuillez qu’elle ne manque de rien surtout que son époux viendra épisodiquement pendant ce séjour.
    
    - Bien monsieur. Je tâcherais de faire de mon mieux pour que leurs séjour soit le plus agréable possible. Je peux disposer ?
    
    - Oui Alain. Répondit la comtesse. Je compte sur vous pour que vous restez dans les parages. C’étant jamais, je pourrais sans doute avoir besoin de vos services.
    
    - Bien madame. Je suis à votre disposition. Vous me retrouvez pour cela dans la loge.
    
    Ce fut mon dernier mot, avant de prendre congé.
    
    J’étais assis dans ma cuisine devant un bol de café quand j’ai entendu qu’en frapper à ma porte.
    
    - Alain tu es là fit la voix que je reconnu en étant celle de Charlotte. La petite fille de la comtesse. Tu peux m’ouvrir la grille s’il te plaît je dois me rendre en ville.
    
    - Et tu y vas toute seule, en ville ?
    
    - Oui ! Je ne vois pas le ...
    ... problème.
    
    Cependant, je notais que la jeune fille avait soigné sa tenue vestimentaire. Elle est drôlement sexy avec sa minirobe ultracourte et ses collants fumés.
    
    - Ta mère te laisse sortir seule.
    
    - Et pourquoi elle ne le ferait pas ?
    
    - Et dans cette tenue !
    
    - Qu’est-ce qu’elle a ma tenue ? Si tu veux savoir, j’ai mis des bas. Qui montent bien haut sur mes cuisses. Et le plus drôle c’est qu’ils tiennent tout seuls. Et je ne te parle pas de la culotte que je porte. Blanche et transparente.
    
    - Eh bien ! Tu en as fait des frais.
    
    - Je les ai empruntés à maman.
    
    - J’espère pour toi qu’elle est au courante ?
    
    - Bien sûr, c’est même elle qui m’a dit de les porter.
    
    - Et le maquillage que tu portes, c’est elle aussi ?
    
    - Parfaitement… Bon alors tu m’ouvres cette putain de grille.
    
    - Je ne sais pas si je dois. Il me faut l’avale de ton grand-père, voir de ta mère. Désolé... ce n’est pas moi qui décide !
    
    Elle a bougonné un instant avant de demander :
    
    - Je peux avoir un café moi-aussi ! Fit-elle en regardant ma tasse sur la table.
    
    - Bien sûr, je m‘empresse de te le servir. Prend une chaise et installe toi…
    
    Ce qu’elle fit. Et comme un fait exprès juste dans mon axe de vision d‘où j‘étais installé quelques minutes plus tôt. Alors que je lui versais le café, Charlotte est restée silencieuse. Posant même une cuisse sur l'autre comme pour mieux s‘installer. Par ce fait, la mini jupe de la demoiselle ne cachait plus grand-chose de ses jambes. Je n’ai pas pu ...
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