1. Sélène


    Datte: 04/05/2021, Catégories: fh, inconnu, fépilée, ascenseur, volupté, entreseins, Oral nopéné, Auteur: Merlin, Source: Revebebe

    ... êtres liés jusqu’au plus profond des sens.
    
    Elle entame une caresse comme jamais je n’en ai reçue. Je sens la pression sur mon gland et la boule de son piercing sur mon frein. Quel délice. Ce soir Aphrodite s’est incarnée et me comble de ses délices. D’une main, de son index et son pouce, elle enserre la base de mon pénis tandis que de l’autre elle caresse mon capital désir maintenant tout enflé.
    
    Elle me masturbe tout en laissant glisser sa langue sur mon sexe aux vaisseaux prêts à exploser. Elle salive dessus. Elle le reprend en bouche, le caresse. Elle se prépare à l’assaut final en se lançant dans un mouvement de va-et-vient de plus en plus rapide. Mon corps tout entier n’existe plus, sauf cette partie qu’elle détient en elle. Cette partie de moi qu’elle possède littéralement.
    
    Je prends conscience que je respire encore, même si j’étouffe de plaisir. C’est le sprint final. Soudain, sa bouche s’écarte, sa main remplace ses lèvres. Je sens maintenant sa chair contre moi. Ses fesses ? Veut-elle que la pénètre ? Que je la sodomise ?
    
    Non ! Ce sont ses seins ! Elle veut que je jouisse sur ses seins !
    
    Ses mains cadencent l’arrivée du climax. Toujours paralysé j’explose contre ces deux sphères qui emprisonnent mon sexe. Si je ne pouvais déjà plus bouger, je crois bien que là je vais tomber. Nous restons encore un instant enveloppés dans le noir puis la lumière se rallume, la porte s’ouvre.
    
    Elle m’enlace et me dépose un délicat baiser sur la joue, toujours ce sourire qu’arborent ses lèvres auxquelles je suis pendu.
    
    Elle s’en va. Elle ne se retourne pas. La porte commence à se refermer. Dans un dernier sursaut, je me jette contre celle-ci et supplie mon amante : « Comment t’appelles-tu ? »
    
    Elle s’arrête net, se retourne, un regard plein de tendresse comme jamais il ne m’a été donné d’en voir et me répond d’une voix aussi sensuelle que j’avais pu l’imaginer : « Sélène.»
    
    Sélène, je t’aime.
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