1. MERCREDI APRÈS-MIDI


    Datte: 03/05/2021, Catégories: Lesbienne Auteur: doucecomplice1, Source: xHamster

    ... des voitures. Je suis même convaincue qu’il nous guette tous les mercredis, car nous sortons à peu près toujours à la même heure.
    
    Il ne s’attendait certainement pas à ce qu’on vienne vers lui. Le simple plaisir des yeux lui suffisait.
    
    Il nous voit traverser, nous jette un regard aussi surpris qu’horrifié. Il devient tout rouge. Il veut s’enfuir, mais nous sommes déjà sur lui, lui bloquant le passage, moi d’un côté et Caro de l’autre.
    
    — On a vu que tu nous observais tous les mercredis, on a pensé que ça te ferait plaisir qu’on vienne te voir.
    
    Il baisse les yeux, pris en faute. Il est pourtant beau garçon. Il n’a sans doute pas confiance en lui.
    
    — Je contrôle les véhicules d’occasion, je ne vous regardais pas…
    
    Comme preuve, il nous montre sa tablette, laquelle affiche effectivement une page renseignant les coordonnées de voitures. Un bel alibi.
    
    — Alors tu ne sais pas ce que tu perds…
    
    C’est moi, qui, la première, viens me coller à lui. Je frotte mes seins contre lui. Contre ses épaules, puis son torse. Caro s’y met aussi, qui se tourne, tend ses fesses vers lui et le masse. Il est comme paralysé. Je me colle encore plus à lui, et j’appuie mon ventre contre sa hanche. Ma main vient se promener sur lui. Je sens sa queue s’allonger au contact de ma main. Je le caresse furtivement, puis laisse la place à Caro.
    
    Là où nous sommes, on peut voir nos silhouettes de la concession sans en deviner plus. On ne peut pas en dire autant de la route. La dizaine de ...
    ... nos camarades qui sont à l’arrêt de bus, attendant l’arrivée de celui-ci, qui doit les conduire dans diverses parties de la ville, et elles profitent du spectacle avec un mélange d’amusement et de fascination. Elles seraient tout autant capables que nous de jouer à de tels jeux. D’ailleurs certaines se sont déjà risqué à pire lors d’un après-(midi de l’étudiant où le pire s’est surtout produit. Enfin le pire pour ceux qui ont un sens moral, et le meilleur pour nous.
    
    C’est Caroline qui se décide enfin à extirper de son pantalon son sexe bandé. Il a une belle queue très longue.
    
    — Vous êtes folles !
    
    — Profite bien de ce moment, je lui dis. Je ne suis pas sûre qu’un aussi bon moment reviendra de sitôt.
    
    Nous nous agenouillons toutes les deux et nous nous partageons sa queue. C’est bon de pouvoir jouer avec une bite. A force de plonger sur une chatte de fille matin et soir, on oublie aussi que les queues existent. Notre relative frustration nous fait jouer avec d’autant plus d’ardeur avec ce morceau de chair dilaté qui tremble sous nos caresses buccales. Nous le dévorons littéralement, alternant coups de langue, succion, engloutissement de couilles, et il ne sait plus où donner de la tête. Mais nous sommes pour ainsi dire prises à notre propre jeu, plus troublées que nous ne pourrions l’admettre. J’ai le ventre en feu et je sens que je sature le tissu de ma culotte d’humidité. Et Caro ne vaut sans doute pas mieux.
    
    Les filles nous regardent, en face. Certaines, sans ...