1. Lettre à une nymphomane et à son mari dévoué


    Datte: 02/05/2021, Catégories: fhh, nympho, hotel, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, init, lettre, totalsexe, couple+h, Auteur: Rocco si refroidi, Source: Revebebe

    ... explosais longuement, Amandine, que ce soit quand c’était moi ou quand c’était Didier qui te faisait jouir.
    
    C’est dommage que nous n’ayons pas réussi à te prendre à deux en même temps comme tu le souhaitais, Amandine. J’aurais beaucoup aimé sentir que ton mari te sodomisait pendant que je prenais du plaisir dans ton vagin. Nous t’aurions fait crier deux fois plus fort ? Didier t’aurait sûrement bâillonnée pour que les femmes de ménage passant devant notre chambre n’entendent pas tes hurlements d’orgasme…
    
    Didier était gêné que tu exprimes aussi fort et aussi souvent toute l’intensité de ton plaisir sexuel. Surtout pendant que je te baisais et qu’il nous regardait faire, en attendant son tour. J’ai bien essayé de le persuader de t’accorder ce droit bien légitime, mais sa modestie naturelle souffrait de tes râles trop reconnaissables à l’extérieur de notre chambre. Même s’ils étaient étouffés par des murs épais.
    
    Didier, j’ai compris que tu es bien trop poli pour prendre le risque de déranger des personnes que tu ne connais pas. À cause de cela, tu voulais réfréner les ardeurs d’Amandine. Tu voulais qu’elle crie moins fort pour que nos voisins puissent vaquer à leurs occupations sans bander en t’entendant jouir, Amandine…
    
    J’ai bien cru que ton mari allait te fâcher pour que tu lui obéisses et que tu arrêtes de gémir si fort, pendant qu’il léchait ton entrejambes en écartant presque trop fort tes cuisses pour mieux enfoncer sa langue dans ton sexe si ...
    ... sensible.
    
    Heureusement, Didier, tu as fini par rendre à Amandine son droit de s’exprimer librement lorsque j’ai dit que c’était sûrement habituel d’entendre ce genre de cris dans un hôtel et tu as fini par la laisser jouir librement du travail de ta langue sur son clitoris. Didier, Il n’y a que quand je plongeais ma queue dans la bouche de ta femme que j’arrivais à étouffer ses cris sans réprimer ses envies.
    
    Si nous avions réussila double, il y a une chose pour laquelle je me pose une question : dans cette position, je sais que chaque homme sent très bien la queue de l’autre quand il remue dans ton ventre, Amandine. Mais est-ce que ce contact aurait plu aux deux hétéros que nous sommes, Didier et moi ? Mystère…
    
    J’y ai pensé quand je t’ai doigtée après nos essais de double pénétration, Amandine. Surtout quand j’ai plongé en même temps un doigt dans ton petit trou et deux doigts dans ta fente, pour bien stimuler tes deux fourreaux à plaisir. Je me disais que pour toi, enfoncer mes doigts dans tes deux orifices serait mieux que pas du tout de pénétration double !
    
    J’ai senti que cela te plaisait beaucoup quand mes doigts se touchaient pratiquement dans ton ventre. Ils n’étaient séparés que par la mince paroi de ton vagin et ils fouillaient tout ton ventre en remuant bien tes entrailles. Didier souriait de satisfaction en voyant mes deux mains travailler à ton double plaisir. Ce plaisir devait très bien se voir sur ton visage, Amandine.
    
    Là où j’étais, je ne pouvais pas voir ta ...
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