1. Lettre à une nymphomane et à son mari dévoué


    Datte: 02/05/2021, Catégories: fhh, nympho, hotel, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, init, lettre, totalsexe, couple+h, Auteur: Rocco si refroidi, Source: Revebebe

    ... que je vous connaissais, toi et ton mari, que déjà tu avais empoigné ma queue et celle de Didier. Tu n’étais même pas encore toute nue, Amandine ! Tu es vraiment une gourmande.
    
    C’est vrai que nous n’étions pas en reste : ton mari se tenait dans ton dos, il embrassait ta nuque en frôlant ton oreille (je sais maintenant que tu adores cela) et il avait déjà mis sa main dans ton string. Moi je pelotais tes seins en t’embrassant goulûment et tu respirais déjà très fort. Quand il a retiré sa main de ton string, j’y ai glissé la mienne. Tu fondais déjà d’excitation.
    
    Je crois que c’est parce que ton excitation était extrême que tu nous as offert, à Didier et à moi, un vrai feu d’artifice de baise. C’est tellement vrai qu’à la fin de nos ébats, tu étais exténuée. Tu n’en pouvais plus de tirer des feux de Bengale de plaisir et ton corps était réellement brûlant ! Il a fallu que je passe un gant de toilette frais sur ta nuque et sur tout ton dos, pour que tu parviennes à reprendre tes esprits et que tu redeviennes sage.
    
    J’ai été surpris de sentir que tu repartais pour un tour, alors que je léchais lentement ton tendre minou pendant que tu reprenais ton souffle. Je tentais pourtant de faire descendre doucement la pression de ton excitation en léchant délicatement ton sexe, simplement pour qu’il soit enfin respecté et non plus écrasé, dilaté, perforé, défoncé par nos queues ! Comme il l’avait subi pendant si longtemps. Mais tes hanches ont commencé à rouler. Et plus je ...
    ... diminuais ma pression, plus les caresses de ma langue se faisaient légères sur ton clitoris et plus des « Oui ! » affolés montaient de ta bouche ! Mais c’est peut-être aussi parce qu’au même moment ton mari cajolait tes seins ? Toujours est-il qu’une fois de plus, tu as bien joui. Moi qui croyais te détendre, je t’ai encore plus épuisée, pauvre Amandine.
    
    Il a fallu que je t’allonge sur le ventre, que je caresse et que je masse lentement tout ton dos, tes fesses pommelées et tes jambes fines, jusqu’à envelopper affectueusement tes chevilles dans mes mains, sous le regard bienveillant de Didier, pour que tu redeviennes toi-même : la petite Amandine toute sage, avec ses cheveux impeccablement rassemblés en queue de cheval et ses petites lunettes posées au bout de son nez de souris, à qui on donnerait le gruyère et le bon dieu sans confession. Tu étais encore nue, étendue sur le lit, mais tu étais redevenue celle qui semblait rosir de timidité quand elle est entrée dans la chambre et qui a baissé les yeux quand je lui ai dit :
    
    — Bonjour Amandine, tu es très jolie !
    
    Coquine, va ! Amandine, tu mériterais une fessée à cul nu pour être aussi gourmande !
    
    Si j’avais le temps, je parlerais aussi de tes yeux pétillants, de ta petite bouche carmin, de tes baisers affolants et de ta voix suave. Mais je n’en finirais pas ! Et puis j’aurais peur de te faire rougir. Et seul Didier, seul ton mari a le droit de te faire rougir en te complimentant.
    
    Amandine, tu disais en arrivant à notre ...