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L'université : de la soumission à la consécration (15)
Datte: 11/05/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: donico, Source: Xstory
... incapable de se retenir. "Quelle salope !" ne puis-je m’empêcher de penser… Alors Justin se retire, et avant que je ne puisse réagir son abondante semence commence à ressortir du sexe de ma mère et à m’asperger le visage. Et bon sang qu’il y en a ! Je me retrouve bientôt avec du sperme plein la truffe, que je retire comme je peux avec mes mains tout en me relevant en crachotant. Je n’en ai pas reçu dans la bouche mais au bord des lèvres, ce qui me donne presque la même impression. Je secoue mes mains pleines du sperme de Justin pour essayer de m’en débarrasser, mais cette merde s’accroche ! Je n’ai pourtant rien d’autre pour m’essuyer pour le moment. Mon attention est pourtant rapidement distraite par ma mère, qui se hâte de s’habiller en se dissimulant comme elle le peut. Comme si c’était encore utile après tout ce que je viens de voir ! Honteuse, elle quitte prestement la pièce – qui est pourtant son propre bureau – dès qu’elle s’est préparée de manière un tant soit peu décente, le tout ...
... sans dire un mot. Ce qui me laisse tout seul avec Justin. Celui-ci s’approche de moi, lentement, un sourire satisfait aux lèvres. — Tu viendras à la petite fête de ce soir, je viens de te rendre tes forces. Sur le moment je n’en crois pas un mot, mais je réalise alors que mon sexe est en semi-érection. Il m’a vraiment libéré de cette horrible malédiction ! Il commence à tourner les talons, considérant apparemment notre conversation comme terminée. Il ne doute pas de mon acceptation. — Pourquoi ? lui demandé-je avant qu’il ne franchisse la porte. Il me regarde, comme s’il réfléchissait pour la première fois à la question. — Je pense que tu as déjà assez souffert, tu as été puni. Maintenant il est temps de te réintégrer dans la Fraternité. Puis il quitte la pièce, me laissant seul avec mes questions. C’est vrai que j’avais déjà beaucoup souffert, aussi courte qu’ait pu être ma punition. C’est pourquoi, à ce moment-là, j’ai eu la bêtise de le croire. Alors que le pire était à venir.