1. Baby-sitting


    Datte: 02/05/2021, Catégories: Transexuels Auteur: bySamBotte, Source: Literotica

    ... c'est ça, une larve qui n'a même pas le courage de ses désirs!
    
    Elle s'était relevée, et brutalement, elle éclata en sanglots :
    
    Merde, j'en ai marre! ... Le salaud, le salaud...
    
    Je me relevai à mon tour et m'approchai d'elle pour la réconforter. Elle se ressaisit et me dit :
    
    Allez, c'est fini, excusez-moi. C'est vrai, c'est dégueulasse, j'ai voulu me venger sur vous, vous faire payer pour lui. ... Allez récupérer vos vêtements. Pendant que vous vous changez, je vais chercher l'argent que je vous dois. Allez, rentrez chez vous, il est tard!
    
    6
    
    Je l'arrêtai alors qu'elle se dirigeait vers son sac à main pour y prendre son porte-monnaie :
    
    Ecoutez... Attendez.
    
    Elle stoppa sur place et je posai mes mains sur ses épaules. Elle ne bougea pas.
    
    Vous avez eu une soirée "galère de chez galère", et je suppose que lorsque vous m'avez vu en rentrant, ça n'a pu que raviver votre colère, je le comprends. Mais vous savez, je déteste les généralisations hâtives du genre "toutes les femmes sont des putes" et "tous les hommes sont des salauds". Ce Pascal a manifestement des problèmes dans sa tête, il ne prend pas ses responsabilités, mais il existe quand même malgré tout des hommes qui savent être doux et tendre avec une femme. Ce n'était pas votre soir, ce n'était pas le bon mec, c'est tout.
    
    Elle eut un sourire triste. Je passai mes mains dans son dos et l'attirai doucement contre moi. Elle se laissa faire et je la sentis s'abandonner sur mon épaule, mais cette ...
    ... fois, elle était "vraie", elle ne jouait plus. Je caressai doucement sa longue chevelure rousse. Elle se remit à sangloter tout doucement. Je lui murmurai à l'oreille "Là, c'est bien, laissez-vous aller, ne craignez rien". Elle se dégagea un peu pour s'essuyer les yeux, remit le kleenex dans sa poche, me regarda droit dans les yeux et me dit "Merci" puis déposa un baiser à la commissure de mes lèvres et se dégagea doucement. Je la retins et elle revint lover sa tête dans mon cou.
    
    J'enfouis mon visage dans ses cheveux soyeux pour respirer encore son parfum. Lentement, délicatement, ma bouche remonta le long de sa joue. Elle ne tourna pas la tête lorsque mes lèvres touchèrent les siennes. J'y déposai plein de petits baisers, et finalement, elle les entrouvrit. Nos langues se mêlèrent et notre étreinte se fit plus violente. Mes mains couraient dans son dos, caressaient ses fesses et je sentis ses mains à elle peu à peu répondre sur mon corps en écho.
    
    Je lui fis lever les bras et enlever son sweat. J'embrassai alors ses seins, j'en faisais jouer les tétons raidis entre l'index et le majeur de ma main droite en recommençant à l'embrasser. Puis je m'agenouillai devant elle en faisant glisser mes mains sur ses hanches. Je déboutonnai son jean en cuir, fit glisser le zip, puis le pantalon lui-même. Je frottai un instant mon visage contre le pompon de fourrure de la petite culotte, puis la baissai également. Ma bouche vint se plaquer contre sa vulve, ma langue commença à la fouiller ...
«12...192021...66»