Ça a marché !
Datte: 11/05/2018,
Catégories:
fh,
nympho,
grossexe,
fépilée,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
Auteur: Vanessa, Source: Revebebe
... cet effet à une femme.
— Je ne suis pas une femme comme les autres moi, j’aime me faire tringler ! En réalité, je n’aime pas, non, j’adore… et encore plus que ça !
— Tu sais je suis un peu spécial moi aussi. Je peux baiser plusieurs fois à la suite et recommencer un peu plus tard. Un vrai lapin russe ! C’est rare que les filles aiment. En général, après un coup ou deux, elles en ont assez. En plus il y en a qui me disent que ma bite est trop grosse.
— Elles n’y connaissent rien. Si je te suce, tu pourras me la mettre juste après ?
— Je pense oui…
— Je veux savoir quel goût tu as. Par contre je te le dis tout de suite, je n’aime pas qu’on me suce ni qu’on m’encule, je n’aime pas du tout…
Déjà je suis entre ses jambes, sa queue est dans ma bouche et je la pompe au mieux. C’est vrai, elle est grosse, mais ma bouche est à la bonne taille. Je suce, j’aspire, il devient de plus en plus dur, il va y aller… oui… j’en ai plein la bouche… pas plus d’une minute, c’est sûr… Marrant, son foutre est plutôt sucré ! Pas trop, comme il le faut pour une bonne liqueur. J’aime mieux ça que le goût, plus courant, de blanc d’œuf ! Ma tête tourne, je vais partir…
— Vas-y bourre moi… comme tout à l’heure, remplis moi de ton jus !
Et c’est ...
... reparti, je ne m’appartiens plus. Je suis toute entière la propriété de sa bite qui me ravage, qui va et qui vient… Je voudrais que ça ne finisse jamais… oh je t’aime, j’aime ta queue, j’aime ton corps, ta force… je suis collée à toi… tu vas m’assouvir… peut-être… mais oui je brûle, je m’enflamme… tu n’es pas prêt de m’éteindre… oui, tu me remplis encore et encore… et toujours…
Nous nous sommes reposés, nous avons bu de la bière, nous avons parlé. Il est un peu comme moi, obligé souvent de se branler pour se satisfaire. Nous avons dormi. Je suis partie travailler le lendemain matin, puis vers quinze heures, il était chez moi. Mon lit est plus grand, mon apart plus frais.
— Tu sais, m’a-t-il dit, si tu caresses mes mamelons, tu devrais me faire décharger sans même toucher à ma queue.
Nous avons fait l’expérience, je le caressais et je regardais sa bite qui, comme un petit serpent, bougeait, se gonflait, se redressait, durcissait puis au bout de quelques minutes se vidait à grandes giclées pendant que lui vibrait comme un violon.
Nous nous sommes revus bien sûr. Il a fini par déménager, il a trouvé du travail dans ma ville et maintenant nous nous aimons ensemble. En plus nous nous aimons d’amour.
Cette fois, ça a marché !!