Vacances en camion, foutre dans le fion (3)
Datte: 30/04/2021,
Catégories:
Trash,
Auteur: Euryale, Source: Xstory
... bébé tellement je me sens devenir femelle. Robert à bien fait de m’entraver les mains : dans l’incapacité de me caresser, ma jouissance est décuplée.
Cabot redouble d’efforts, sa queue n’est pas encore entièrement entrée. Je sens qu’il lutte pour faire pénétrer la base, plus large. Si ça rentre je vais douiller. Pourvu qu’il y parvienne ! Robert s’assoit devant moi et il me glisse sa queue dans la bouche. Il voit bien que j’ai du mal à me concentrer sur la fellation, aussi le voilà qui prend la direction des choses. Il me baise la bouche. Il reste un peu soft pour commencer mais je sens que c’est juste pour le début. Quand son chibre sera bien lubrifié par ma salive, il augmentera la cadence.
Cabot est parvenu à ses fins. Au moment où la base de sa bite est entrée j’ai senti une vive douleur mais qui s’est rapidement changée en plaisir. J’ai ouvert grand ma bouche pour gémir et Robert en a profité pour s’enfoncer entièrement. Il m’a attrapé par les oreilles et il se sert de ma tête comme d’un masturbateur. Je sens la queue de Cabot enfler en moi, j’angoisse mais je prends un pied comme jamais. Je ne vois plus rien, j’ai les yeux révulsés de plaisir.
Le chien ne remue presque plus mais je le sens se déverser en moi. Je devine un orgasme anal en train d’arriver. C’est lent et encore loin, mais ça va être énorme. Je ne suis plus qu’une cuve à foutre canin. C’est ce que j’ai envie d’être à cet instant. Robert continue à me pilonner la glotte, je bave et gargouille à ...
... tout instant. J’aimerais réussir à avaler sa queue en entier, me retrouver le nez écrasé contre son pubis et le cul rempli de foutre. Je dois avoir les oreilles toutes rouges tellement Robert me les tire pour faire coulisser son chibre. Ses poils pubiens me chatouille le bout du nez, j’y suis presque, j’ai du mal à respirer mais quand il me laisser avaler un peu d’air j’émets un bruit d’aspirateur. Me voyant prêt du but et soucieux de m’aider, Guy appuie sur ma tête pour faire entrer les derniers millimètres. Je suffoque, de la bave s’écoule par mes narines. Robert éjacule à cet instant et du sperme se retrouve propulsé par le nez. Impression bizarre, mais je me sens complètement à leur merci et j’adore ça.
L’orgasme arrive, d’une puissance insoupçonnée. Mon corps ne répond plus à mes ordres, il se démerde tout seul. Je sens mes sphincters se contracter. Cabot se met à couiner en sentant sa queue serrée par mes muscles, il essaye de se dégager et tire en arrière. La boule est trop enflée pour passer mais il tire encore et encore, c’est douloureux, mais plus il tire et plus je me contracte, involontairement. Je me crispe pour le retenir. Parce que je veux le garder en moi le plus longtemps possible et pour éviter la douleur que procurerait cette boule si elle sortait à plein volume. J’aime les grosses dilatations mais je ne suis pas prêt pour une telle ouverture. Forcément plus je le serre, plus il essaye de se dégager. Heureusement je peux compter sur l’aide de Guy qui essaye ...