1. COLLECTION HISTOIRE COURTE. Les mûres (1/1)


    Datte: 29/04/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... manger.
    
    J’étais cliente au garage du temps où je vivais avec Nicolas, j’allais faire le plein et j’ai vu ce grand garçon arriver après son école de mécanique où il avait obtenu son CAP.
    
    Quand Nicolas m’a fait faux bond, Lucien son patron a racheté le gros 4x4 que nous avions acheté trois mois plus tôt après que mon pourri de mari eut été au Pérou pour travailler sur un barrage.
    
    C’était sa spécialité et il partait à travers le monde, j’ai su après qu’il eût ramené une belle Péruvienne et qu’il l’avait installé dans un appartement qu’il louait dans la ville voisine.
    
    Elle ne s’est pas adaptée et comme au barrage, ils lui ont proposé un poste à l’année, ils se sont tirés tous les deux.
    
    Je vois rapidement le gain que je peux faire en revenant rapidement cueillir ces trompettes de la mort, malgré leur nom bizarre, c’est des champignons très recherchés pour mettre autour d’un rôti de porc.
    
    J’achète mes bocaux en grande quantité chaque année, j’en ai rentré il y a peu, j’ai tout ce qu’il faut pour en faire autant de bocaux que je veux de mûres et de trompettes.
    
    Pépé sera satisfait de proposer un nouveau produit naturel à ses clientes du marcher.
    
    • Tu cueilles des mûres pour en faire des confitures, c’est vrai que j’en achète à Pépé au marché, tu es douée, elles sont succulentes, j’aime moins le goût des cerises, par compte tes reines-claudes, c’est un régal, tu viens d’en faire, je pense avec cette année à fruits jaunes.
    
    • Merci, passe à la maison, je ...
    ... t’en donnerais quelques pots.
    
    • Je les adore le matin sur une tartine au petit-déjeuner, je vois qu’il reste des mûres à ta gauche, finit là où tu es.
    
    Il cueille plus vite que moi, surtout qu’il est plus grand.
    
    • Dommage, regarde au-dessus de toi, il y en a un paquet et tu pourrais en faire au moins deux ou trois bocaux de plus.
    
    • J’ai déjà les mains toutes griffées, elles sont trop hautes, laissons-les aux oiseaux.
    
    • Attends, j’ai une idée, je vais te faire la courte échelle, tu vas pouvoir les attraper.
    
    • Tu crois, tu vas être assez fort pour me soutenir.
    
    • Regarde ces bras, tâte, c’est du béton, tu sais mes parents m’ont donné une forte constitution et dans mon travail, je lève des charges tous les jours.
    
    J’avance ma main, son bras est tout griffé, car il est venu en simple tee-shirt dans ce bois, quand je pose mon doigt sur son biceps, je ramasse une décharge.
    
    • Eh, j’ai pris le courant.
    
    • C’est normal, mes biceps sont alimentés sur le 380, alors on y va, il serait couillon de laisser tous ces fruits, à cette hauteur, ils vont pourrir sur place si nous ne les ramassons pas.
    
    Il croise ses mains, se baisse et en un éclair, je suis à bonne hauteur, j’arrive à tenir mon équilibre malgré que mes seins soient presque cinquante centimètres au-dessus de sa tête.
    
    • Descends-moi, ma main est pleine.
    
    Pour me redescendre, je sens mes seins se frotter à mon nez, je vide ma main dans le panier et il me fait remonter.
    
    Non seulement, mes seins se ...