1. Le train


    Datte: 28/04/2021, Catégories: fhh, inconnu, train, collection, noculotte, Oral pénétratio, fsodo, tutu, occasion, Auteur: Misbéa, Source: Revebebe

    ... suis une bonne petite salope, que je suis bonne. Ça m’excite tellement que je jouis presque immédiatement. Il vient me lécher et l’autre sort de ma bouche raide et humide. Il se penche à mon oreille et me murmure qu’il veut prendre mon petit cul. Ils me relèvent, me penchent en avant contre la banquette. Le second frotte son sexe contre le mien puis se présente à l’entrée de mon cul. J’ai du mal à m’ouvrir, sa queue est épaisse. Elle force un peu le passage. J’ai un peu mal, j’essaie de me dégager mais leurs quatre mains me tiennent fermement. Il force encore, j’ai mal mais je suis tellement excitée que la différence entre douleur et plaisir se confond un peu. Mon cul s’ouvre dans un cri et ses coups de reins sont forts. Je le lui dis doucement. L’autre sourit et lui dit :Plus fort ! en continuant à me maintenir. Je suis écartelée par ce sexe qui pénètre mon cul avec plus de violence à chaque coup. Je sens une caresse sur ma chatte et une main s’y enfonce. Sa douceur contraste avec la brutalité de l’autre. Je jouis à nouveau, ainsi prise. Le plaisir est intense et me laisse un peu pantelante. Je les vois sourire, fiers de leurs effets. Ils ont vraiment un joli sourire. Ils se marrent et se disent :
    
    — On inverse les rôles.
    
    Je ne peux pas résister ; moi qui voulais jouer je suis devenue le jouet. J’ai voulu jouer avec deux sexes et je les prends bien profond. Ça y est, leurs queues me pénètrent toutes les deux en même temps. L’un d’eux pince le bout de mes seins, je ...
    ... n’arrive même plus à définir lequel. Tout est mélangé dans la sensation de plaisir ressenti. Je suis remplie. Je les sens sur le point de jouir et je me dégage d’un coup de rein. Ils sont à terre et je me relève. Ils me lèchent alors le cul et la chatte en m’écartant bien les fesses. La douceur de leurs langues contraste avec la violence de leurs coups de reins. Mon cul et mon sexe sont un peu douloureux. Je pense à toi. Que vais-je te raconter ?
    
    Ils m’attirent vers eux et m’embrassent. Ils me caressent avec douceur tout en se branlant furieusement. Leurs spermes giclent. J’en avale un et l’autre se répand sur mon sexe. Je m’essuie avec des mouchoirs en papier. Je les dépose dans la poubelle en pensant à celui ou celle qui la videra. Sentira-t-elle l’odeur de sexe ? Devinera-t-elle ce qui s’est passé dans ce petit compartiment ?
    
    Nous nous rasseyons. Le silence à nouveau s’installe. Nous regardons le paysage pour ne pas avoir à nous regarder.
    
    Ils descendent du train à A. Auparavant, l’un d’eux me glisse un papier avec son numéro de téléphone. Si j’appelle que je me présente commeLa belle salope du train. Ils sauront, ils ne sont pas près de m’oublier.
    
    — Merci et à bientôt.
    
    Je ne réponds pas. À quoi bon ? Je ne sais même pas ce qui m’a pris, si j’ai envie de recommencer ou si j’en serais capable. Alors il n’y a rien à répondre. Ils m’agacent maintenant.
    
    Mon dieu, plus qu’une heure et je te retrouve. Que vais-je te dire ? Nous avons toujours tout fait sans tabou, ...