1ere expérience homosexuelle
Datte: 28/04/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: Milla, Source: Hds
À 30 ans, je n’avais encore jamais eu d’expérience homosexuelle et je n’en avais même jamais eu le fantasme. Non pas que de voir des femmes ensemble m’eût dérangée, chacun mène sa vie comme il l’entend, mais en mon âme et conscience ce n’était pas mon truc. Aujourd’hui encore je ne pense pas être lesbienne, même si souvent les apparences sont contre moi. En tout état de cause, je ne me ressens pas comme telle. d’ailleurs, Annie mise à part, je n’éprouve vraiment aucun désir de ce côté.
Cette Annie en question était une petite brune mignonnette venue s’installer avec son mari dans ma résidence. Aussi brune que je peux être blonde, elle n'était pas très grande non plus: 1 m 65, petits seins ronds, fesses rebondies et joli visage. J’ai tout de suite sympathisé avec elle, dès les premiers jours en fait. Nous allions faire nos courses ensemble allions nous promener et déjeuner en ville si bien qu' en deux ou trois mois c’était devenu une de mes meilleures copines. Je dois dire que c’était loin d’être le cas de nos maris respectifs. Je ne sais pourquoi mais ils n’ont jamais pu se côtoyer malgré nos efforts respectifs pour essayer de les rapprocher. C’est vrai qu’au départ ils n’avaient pas beaucoup d’atomes crochus. Le sien était du genre sportif, alors que le mien était plutôt cérébral, , intellectuel ., deux mondes assez différents mais malgré cela nous aurions aimé qu'ils fassent quand même un effort d’autant plus que Jean son mari était charmant et Damien, malgré son ...
... intellect était resté très abordable. Mais non, il devait y avoir quelque chose de particulier dans leurs caractères respectifs, quelque chose qui faisait qu’ils ne pouvaient pas se supporter.
Et après leur avoir imposé deux ou trois soirées, pendant lesquelles ils se regardaient en chien de faïence, nous décidâmes d’arrêter. nous nous sommes donc vus sans eux, dans la journée, pour ne pas les déranger.
Nos rapports faits d’amitié et de complicité auraient pu rester ainsi toute la vie si un jour en rentrant chez Annie à l’improviste, je ne l’avais trouvée à moitié nue sur son canapé et en train de se caresser. Elle était allongée sur le dos, la tête posée sur l’accoudoir, la jupe complètement relevée et les cuisses largement écartées. Elle se masturbait en fermant les yeux et en se mordant les lèvres elle avait l’air de vraiment prendre son pied.
Pour moi c’était nouveau c’était la première fois que je voyais une fille se caresser en réel devant moi-même si bien sûr je l’avais déjà vu dans des films érotiques. Aussi, je restai là quelques instants par simple curiosité. Simple curiosité oui, aucun voyeurisme et aucun désir trouble. Je pensais même que j’allais m’éclipser pour la laisser tranquille et que je reviendrai plus tard. Partir à petits pas de loup comme j’étais venue, sans rien dire pour qu’elle ne se sente surtout pas violée dans son intimité, et j’allais le faire…
Mais tandis que je reculais, j’entendis une voix qui me dit :
— Excuse-moi sissi, je suis ...