Mon gentil petit voisin
Datte: 27/04/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
asie,
piscine,
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
voisins,
Auteur: Bodding, Source: Revebebe
... une chaude tige de bois dur qui palpitait sous mes doigts.
Beran a fait doucement glisser le peignoir de mes épaules et, passant ses mains derrière mon dos, a dégrafé mon soutien-gorge. Mes seins légèrement tombants ont trouvé refuge dans ses mains. Il les malaxait un peu maladroitement et a poussé l’audace jusqu’à se mettre à en sucer les mamelons. Au point où nous en étions, je voulais surtout qu’il n’arrête pas ! Finie mon éducation bourgeoise, finie la fidélité à mon mari. J’explosais de bonheur sexuel peut-être trop longtemps contenu.
Sentant son impatience, je lui ai demandé s’il avait déjà vu une femme nue. Je compris que son semblant d’expérience était plus livresque que réelle. À mi voix hésitante, il me confessa qu’il avait été déniaisé par une amie de sa mère le jour de ses dix-huit ans et que, depuis, il n’avait pas eu beaucoup d’occasions.
S’enhardissant, il me dit cependant que depuis qu’il m’avait vu chez sa mère il fantasmait sur moi et se masturbait souvent en m’imaginant toute à lui. On est bien partis !
J’avais toujours son sexe dans ma main et, l’écoutant parler, j’ai entamé un lent mouvement de va-et-vient. Je crois que ce serpent vivant et chaud qui occupait ma paume grossissait encore. Comme j’étais loin du bandage de bonne compagnie de mon mari, gentil mais mi-mou.
Il me demanda s’il pouvait voir ma chatte. Quel effronté ! J’ai enlevé ma culotte et ses yeux se sont écarquillés en voyant ma toison abondante. Il devait être habitué aux ...
... chattes imberbes des magazines pornos. Il faut dire que mon pubis est à faire rêver un connaisseur ! Une abondance de poils se répand en large nappe sur mon bas ventre pour remonter en une belle tresse quasi jusqu’à mon nombril. Sauf lors de mon accouchement, jamais les ciseaux ou le rasoir ne sont venu modifier ce don de la nature. Comme je suis châtain foncé vous imaginez cette couverture érotique cachant complètement mes lèvres vaginales.
Bien souvent, après que mon mari se soit libéré en moi mais sans me mener à l’orgasme, je me fouille moi-même et me caresse délicieusement, recherchant surtout le contact clitoridien qui, selon mon rythme, m’amène à devoir mordre mes lèvres pour ne pas crier de plaisir. Heureusement mon mari s’endort rapidement après son coït. Ce plaisir solitaire n’a pas besoin de fantasme quelconque et répond simplement à un besoin si agréable à satisfaire. Mais, revenons à Beran.
Celui-ci, n’osa toucher cette toison que je venai de lui dévoiler mais j’en ressentis l’effet dans les palpitations de son sexe que je tenais toujours à la main comme si c’était mon jouet favori. J’espérais qu’il n’allait quant même pas décharger dans ma main ! Ses mains d’homme s’occupaient toujours de ma poitrine, donnant à mes seins une vie propre. On aurait dit qu’il les auscultait, les palpait passant sa langue sur mes boutons durs et érigés.
Il faudra, à l’occasion, que je lui demande d’ailleurs comment s’était déroulée sa première expérience sexuelle avec l’amie ...