1. La Femme du Consul 04


    Datte: 27/04/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... déroula sans heurts, elle évoluait comme dans un rêve, un doux souffle lui parcourant souvent la fente, lui rappelant de prendre garde de ne rien révéler, la maintenant ainsi sous pression une large partie du temps, d'autant plus qu'elle devait subir l'assaut de ses mains presque à chaque fois qu'elle passait à sa portée, le repas pris dans la salle à manger, en sa compagnie se passa normalement, et enfin l'instant qu'elle craignait se présenta.
    
    Comme chaque jour, sur le coup de 20 heures, Maria et Ibrahim vinrent prendre leur congé afin de rejoindre le local extérieur qui était réservé à la domesticité, elle allait maintenant se retrouver seule en compagnie d'Abdou.
    
    Il s'installa dans le salon, sur le canapé, craintive, elle le suivit docilement, il lui enleva d'un geste sa courte jupe, elle se retrouvait juste vêtue de son ample tee-shirt, cul et foufounette à l'air.
    
    L'attirant sur ses genoux, il entreprit sournoisement d'exciter ses sens, il entreprit de parcourir tout son corps de langoureuses caresses, ne s'attardant pas un endroit précis afin de lui enflammer les sens, s'attendant à une certaine rudesse, elle ne put empêcher ses sens surpris de réagirent à une douceur si inattendue, petit à petit, elle sentait son corps frémir sous les effleurements sardanapalesques, à peine une vague de désir s'éveillait-elle dans ses lombes, que déjà elle cambrait les reins pour mieux offrir sa croupe aux caresses enivrantes, pour serrer les cuisses sur la main qui ...
    ... envahissait son entrejambe afin d'interdire tout retrait à cette main captivante.
    
    Son corps était maintenant parcouru de tremblements jouissifs, elle haletait, et bientôt, avouant d'un soupir rauque son orgasme, elle fléchit sur les genoux et s'affala entre ses cuisses, la main se fit douce sur sa nuque, lui flattant les oreilles comme on le ferait à un chaton, parcourant son cou de frôlements prolongeant son plaisir.
    
    Elle se pelotonna entre ses jambes, et d'une main volontaire entreprit de lui ouvrir sa braguette, plus rien ne comptait d'autre à ses yeux que de lui rendre le plaisir qu'il venait de lui donner, et pour cela, elle se laissait guider par son intuition.
    
    Le caleçon écarté, elle agrippa d'une main ferme la flamberge triomphante qui avait jailli, elle parcourut lentement de coups de langues appliqués la hampe rigide, s'attardant sur les couilles velues qu'elle suça longuement, elle qui à cette idée, huit jours plus tôt aurait vomi de dégoût.
    
    Et pourtant, ahurie par son comportement, comme détachée de son corps, elle regardait faire cette jeune houri soucieuse de captiver son maître, de lui complaire.
    
    Elle emboucha enfin le gland volumineux, et bouche distendue, le guidant d'une main sûre, elle guida les allées et venus dans sa gorge s'approfondissant de plus en plus pour mieux l'accueillir. Elle chouchouta encore un bon moment son gland turgescent, l'enveloppant d'une langue de plus en plus habile, suçant les gouttes suintant du méat, et enfin, au tremblement ...