1. Agnès ou l'écume des jours... (3)


    Datte: 27/04/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... demanda de descendre du véhicule, puis il ouvrit le coffre et alors il lui parla.
    
    — Tu es riche, tu es belle, mais tu restes une salope. Tu vas gentiment te déshabiller.
    
    — Quoi ? Ici en pleine forêt ?
    
    — Je t’avais dit de te taire, tu n’as pas le droit de parler. Nous allons régler cela une bonne fois pour toutes. Allons mets tes frusques dans le coffre !
    
    — … !
    
    Les yeux embués de larmes, elle restait là sans bouger. Alors la claque formidable qui la cueillit sur la joue sembla la réveiller. La tête basse, Agnès se résigna à retirer jupe et chemisier.
    
    — Tu peux garder tes chaussures. Le chemin est caillouteux et je ne voudrais pas te rendre à ton mari… abimée.
    
    Entièrement nue elle dut encore se plier aux exigences de ce type qui la traitait tout à fait comme une pute. Il lui mit sur les yeux un bandeau et puis un collier et une laisse et ils marchèrent un long moment sur un chemin ou un sentier très accidenté. Elle suivait, tentant de garder un équilibre plutôt instable. Quand enfin il lui demanda de s’arrêter, elle entendit des voix toutes proches. Le creux qu’elle avait au ventre était autant de peur que d’envie de sexe.
    
    — Toi ! Oui toi, approche !
    
    Richard s’était adressé à une personne invisible et elle sentit une présence toute proche.
    
    — Tu peux la tripoter tant que tu veux, mais avant, tu lui attaches les mains à cet arbre. Et l’un de vous autres me trouve une belle et longue baguette de noisetier.
    
    Des bruits suspects lui revenaient, ...
    ... derrière son bandeau. Elle se sentit saisie par les poignets et l’écorce d’un arbre se colla à son ventre. C’était du genre râpeux, pas lisse du tout. Elle songea que ce devait être un sapin avec son écorce morcelée. Plaquée contre le tronc, ses mains fixées par elle ne savait quoi, elle ne pouvait plus se mouvoir.
    
    — Tiens, tu vas la baiser, alors à toi l’honneur.
    
    Elle ne savait pas ce qui se tramait dans son dos. Le premier coup, quand la badine s’abattit sur ses reins elle hurla.
    
    — Cinq fois, tu dois le faire encore quatre fois. Je veux qu’elle sache ce que le mot obéir veut dire.
    
    Tétanisée par la peur, elle attendait que la seconde touche de la baguette la secoue ! Elle arriva sur la gauche alors qu’elle l’attendait à droite et ça lui fit un mal de chien. Puis les trois dernières morsures sur sa chair la firent pleurer. Ensuite quelqu’un lui passa les mains sur chacun des impacts et elle se sentit cajolée, mieux en fait. Une main descendait sur ses fesses, les écartant sans lui faire plus mal que cela.
    
    — Ne crains rien ! C’est une bonne cochonne, touche-lui la chatte, et dis-moi si elle est encore mouillée.
    
    — Oui ! Elle dégouline, ça lui coule sur les cuisses.
    
    — Alors tu peux la baiser ! Tu as dix minutes pour la faire jouir. Si tu n’y arrives pas, je la donne à un autre. C’est parti.
    
    Les mains douces de celui qui la touchait venaient à nouveau de s’infiltrer dans la raie de ses fesses. Elle respira plus fort quand un doigt s’engouffra sans autre forme de ...
«12...4567»