1. Avec des amies comme ça… (25)


    Datte: 11/05/2018, Catégories: Trash, Auteur: Victor_lepieux, Source: Xstory

    ... désirer. Par contre l’intérieur de leur appartement était vraiment chouette. De beaux tapis persans, des meubles qui devaient valoir un sacré paquet, une télé géante. Visiblement leur trafic devait rapporter gros. Mais ce n’était pas pour une visite d’appartement que j’étais là, et je fus vite emmener dans la chambre à coucher.
    
    J’avais beau savoir ce qui m’attendait, la demi-heure suivante fut quand même assez désagréable. Je me déshabillais et me mettais rapidement à genoux pour leur sucer le zgeg. Je tenais à prendre l’initiative et à imposer mon propre rythme plutôt que de les laisser se servir de moi et de me faire traiter comme un trou à foutre. Mais ma tentative de prendre le dessus fut de courte durée. En effet, je n’avais pas encore eu l’occasion de me faire prendre en gangbang ; mais je m’aperçus bien vite que quand on se fait prendre par plusieurs bites en même temps, on n’a plus trop la liberté de mouvement. Autre chose que je remarquais, c’est que de se faire baiser par un type est une chose, mais par plusieurs, cela donne vraiment la sensation d’être une salope dégénérée. Quand on a une bite dans le cul, et une autre dans la bouche, il n’y a vraiment pas de quoi faire la fière. D’autant que si j’ignorais ce qu’ils disaient la plupart du temps puisqu’ils parlaient en arabe, quand ils utilisaient quelques rares mots de français c’était pour me traiter de pute, de salope et d’autres amabilités.
    
    Mon seul motif de plaisir était que j’avais rendez-vous avec Lisa ...
    ... dans deux heures et demie, et je me rendis vite compte qu’ils ne pourraient tenir ce rythme aussi longtemps. Après qu’ils aient fini par me jouir dessus, il restait encore deux heures où je pensais être tranquille et pouvoir me reposer. Mais j’étais bien naïve de croire que la fortune allait m’épargner quelques dégradations que ce soit ; cinq minutes après qu’ils se soient vidé les couilles en moi, on sonna à la porte, et d’autres jeunes « cousins » arrivèrent. Mes espoirs de passer quelque temps au calme s’évaporèrent amèrement. J’étais parti pour encore deux heures de baise marathon. Ma chatte se faisait enfiler par un nombre de bites que je préférais ne pas compter. Je sentais le sperme me maculer sur toute la peau, les cheveux… Et c’était sans compter tous ceux que je finissais à la bouche et qui me donnaient leur foutre à avaler.
    
    Je savais aussi qu’ils m’enregistraient en vidéo, ça faisait longtemps que je n’avais plus de fierté propre et que ce genre d’humiliation m’était égal, mais tout de même... je me rendais compte que j’étais quasiment devenue une de ces vraies traînées qui se font prendre dans les caves d’immeuble de banlieue. Enfin, n’exagérons rien, j’étais dans un bel appartement et pas dans une cave.
    
    J’étais étendu sur lit, quand on me fit lever. L’un des Arabes me tendit un gros sac et ordonna :
    
    « Tu rapportes ça à Lisa. Compris, grosse pute ?
    
    — Oui Monsieur. »
    
    J’hésitais à demander à prendre une douche. Pas tant parce que j’avais peur de ces ...
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