1. « Moi, Julien… » SAISON 3 EPISODE 1 : Retour vers le futur, ma première fois homo


    Datte: 26/04/2021, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Castor99, Source: Hds

    ... tige, essayant de la prendre le plus profondément possible. Les deux m’ont bien évidemment sucé, parfois à tour de rôle, parfois ensemble, l’un s’occupant de mon gland, l’autre de mes couilles.
    
    Nous écoutions maintenant Misterious ways d’U2 sortir du haut-parleur.
    
    Benoit étant plus expérimenté que François et moi, il nous avait progressivement amené à des jeux plus poussés. Par exemple je me souviens très bien du moment où Benoit nous avait progressivement doigtés, François et moi étant allongés sur le dos l’un contre l’autre les genoux relevés à nous masturber mutuellement. C’était pour moi une première initiation alors que François était passif selon les indiscrétions que Benoit avait pu me faire avant. Sentir son doigt humide de salive s’immiscer en moi, m’ouvrir petit à petit, titiller ma prostate m’avait amené à un niveau d’excitation intenable.
    
    C’est Benoit, en initiateur attentionné, imaginatif et patient qu’il était, qui menait le bal. Il a fait mettre François en levrette et a pris ma bite dans sa main pour la poser sur la rondelle ouverte de François. Et doucement, sur l’impulsion de la main de Benoit, j’ai vu comme dans un rêve mon sexe se faire avaler petit à petit. C’était serré et si délicieux.
    
    A peine avais-je commencé à bouger que je sentis Benoit se placer derrière moi. Dans la même soirée passer d’un doigt dans mon cul à la queue de Benoit, jamais je ne l’aurais imaginé ou alors j’aurais pris la poudre d’escampette de peur d’avoir mal. Pourtant, ...
    ... sans même que je m’en rende compte, j’ai senti son sexe se frayer un passage et forcer mon trou. Je me sentais profondément pénétré, écartelé même. Et si je n’ai pas souvenir d’avoir eu mal, je n’ai pas non plus souvenir d’avoir ressenti du plaisir. Je pense avec le recul que je n’étais pas prêt psychologiquement à accepter ce plaisir, à lâcher prise surtout.
    
    A la radio Prince chantait Cream.
    
    Au bout d’un moment j’ai demandé à Benoit de sortir de moi pour me concentrer sur François et ses fesses ouvertes devant moi. J’ai continué à le baiser profondément y prenant un plaisir non dissimulé. Mes mains bien calées sur ses hanches, j’alternais entre va et vient rapide et lent hypnotisé par le spectacle de mon sexe entrant et sortant de son trou bien ouvert. Je sentais le point de non-retour arriver à grand pas et je me retirais juste avant. François s’est alors allongé sur le dos et se branlait devant nous. Benoit et moi faisions de même au-dessus de lui et c’est dans un concert de gémissements que nous avions joui tous les trois sur son torse.
    
    La radio enchaina sur Lenny Kravitz et son It ain’t over til it’s over.
    
    Je me suis retrouvé allongé sur le lit, à côté des deux autres, mon cœur se calmant petit à petit. Je venais de me faire dépuceler, dans tous les sens du terme. Et j’avais aimé ça. Je pense que j’ai mis plusieurs jours à réaliser ce qu’il venait de se passer. Cela impliquait tellement de choses, tellement de questions, tellement de conséquences sur ma vie à ...
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