1. « Moi, Julien… » SAISON 3 EPISODE 1 : Retour vers le futur, ma première fois homo


    Datte: 26/04/2021, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Castor99, Source: Hds

    ... l’un contre l’autre. Et puis un jour j’ai osé poser ma main sur son sexe et je l’ai doucement masturbé. Il s’est laissé faire.
    
    Je me souviens que sa queue était toute petite, moins de 10 cm de long et très fine. De son petit gland sortait une quantité phénoménale de liquide séminale. A côté de la sienne, ma queue me paraissait énorme, ce qui bien évidemment flattait mon égo.
    
    Bref, je jouais avec sa petite bite, la branlant doucement, la décalottant un peu, souvent jusqu’à ce qu’il jouisse sur son ventre presque imberbe. Il prenait également ma queue dans sa main et me branlait avec application, mais avec sans doute moins d’envie que moi, plus par politesse finalement pour me rendre la pareille. J’étais plutôt dominant dans ce « couple improvisé ». Parfois je me finissais en me branlant sur lui alors qu’il était allongé sur le dos, et je jouissais en longues saccades qui venait rejoindre son sperme sur son ventre. Une fois même, mon jet fut tellement fort qu’il a atterri sur son visage.
    
    J’ai voulu aller plus loin dans la découverte et un après-midi j’ai approché ma tête de son sexe. La première fois il a refusé tout de go et nous en étions resté là. Mais le soir même je retentais ma chance et cette fois ci il ne bougea pas, me laissant descendre ma bouche vers sa queue toute raide. Je goutais d’abord son gland du bout des lèvres, le liquide séminal venant imprégner mes lèvres et ma langue. Puis je la pris en bouche, m’appliquant du mieux possible. Comme elle ...
    ... n’était pas très grosse, je pouvais la prendre en entier et aux soupirs de mon cousin, il y semblait prendre du plaisir.
    
    Je l’ai entendu murmurer entre deux soupirs « Tu vas quand même pas avaler ? ». J’ai répondu par réflexe « Mais non bien entendu ! » alors qu’en réalité j’en mourrais d’envie. Peut-être même que lui aussi il voulait en fait que je le fasse, je ne le saurais jamais.
    
    Lors de notre dernière fois avant qu’il ne reparte chez lui, il était allongé sur le dos et moi au-dessus, j’avais mis ma bite sous ses couilles et je mimais l’acte sexuelle entre ses fesses. Progressivement mon sexe est venu s’insinuer contre sa rosette mais je ne m’en rendais pas bien compte. Je continuais à avancer un peu. Ses yeux me fixaient, sa bouche entrouverte, son souffle coupé. Ce n’est que lorsqu’il m’a dit que ça lui faisait mal que j’ai réalisé que mon gland était rentré. Je me suis retiré prestement, m’excusant platement. Bien entendu, à cet âge-là, et avant l’ère d’internet, on n’avait aucune expérience et aucun moyen de se renseigner sur l’importance de la lubrification.
    
    Avec mon cousin, on n’a jamais reparlé de cet été et depuis quelques années je l’ai totalement perdu de vue. Et puis j’ai consciencieusement enfoui dans ma mémoire ce mois d’août 1987. Ce n’est qu’en 1991 que je m’en suis finalement souvenu. »
    
    La serveuse est venue interrompre mon monologue. Elle nous a demandé si on voulait du café. J’ai interrogé du regard Marion et Simon en face de moi, ils étaient ...
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