Un certain jeudi
Datte: 26/04/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
grossexe,
noculotte,
Oral
pénétratio,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... faire ; elle répond même à mon baiser. Je ne peux pas mieux espérer : cette femme est à moi, pour moi. À moi de savoir faire fructifier cette terre fertile et je ne suis pas mauvais, en jardinier !
La soulevant, je la dépose sur le bord de mon bureau, puis quittant ses lèvres à regret, je l’invite à se coucher carrément dessus. Elle proteste mollement :
— Et si quelqu’un venait ?
— Vous avez raison ; je vais fermer la porte et éteindre la lumière, faire comme si je n’étais pas là. Ne bougez pas.
Ceci fait, je reviens à ma place, Sylvie n’ayant pas bougé un seul doigt. Elle est décidément très docile, surtout quand elle sait qu’elle aura ensuite sa dose. Je me demande pourquoi son mari est passé à côté d’une telle femme. Il est vrai que, souvent, il faut deviner une femme : elle ne dira pas franchement ce qu’elle veut. Du plus loin que je me souvienne, j’ai rarement entendu une femme me dire au début de notre relation « J’ai envie de toi, baise-moi ! » Il faut des mois, des années pour qu’elle consente à dire un truc pareil, et c’est en général du bout des lèvres !
Impérieux, j’écarte les jambes de ma secrétaire pour mieux me ménager un accès vers sa belle chatte. J’en profite pour mieux admirer son entrejambe.
— Vous avez une belle chatte, Sylvie, une réussite d’équilibre. Elle semble presque lisse, rasée, mais elle a quand même un fin duvet qui l’habille. J’aime beaucoup !
— Euh… merci…
— Maintenant, caressez-vous les seins. Je veux voir vos doigts palper ...
... vos beaux nichons. Je veux vous voir jouer avec vos tétons !
— Oui, Monsieur ! dit-elle d’une petite voix gourmande.
Elle s’exécute aussitôt. Ses mains s’emparent de ses seins pour les palper sans vergogne, pour jouer avec. Elle me regarde droit dans les yeux, avec une évidente lueur de désir au fond des prunelles. Je me positionne juste au bord de ses lèvres, puis d’un petit coup de reins je commence à m’enfoncer en elle. Elle est toujours étroite, mais je sens néanmoins que je coulisse mieux en elle et que ma secrétaire m’accepte de mieux en mieux.
— Vous voyez, ça passe mieux, n’est-ce pas ?
— Oui, c’est vrai. Votre bite est très grosse ! Mais on dirait qu’elle rentre mieux…
Je commence à coulisser lentement mais fermement. Elle est détrempée ; cette petite garce adore mon traitement, tant mieux !
— D’ici peu de temps, ma grosse queue vous paraîtra trop petite !
— Vous voulez rire ?
— Non, non ! Et vous réclamerez deux bites en même temps dans votre chatte !
— Rhoo ! Vicieux !
Je constate néanmoins qu’elle n’a pas dit non, et ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd ! Sylvie serait-elle la femme que je cherchais ? L’avenir me le dira. Pour l’instant, je suis trop occupé à lui faire son affaire, à venir en elle tandis qu’elle se pâme, sombrant petit à petit dans une jouissance silencieuse afin de ne pas ameuter toute l’entreprise !
Soudain, elle se crispe tandis que je la bourre, que je me déchaîne en elle. Elle se pince violemment les lèvres afin ...