De très bons voisins
Datte: 25/04/2021,
Catégories:
fh,
voisins,
amour,
pénétratio,
nonéro,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... danger, mais je ne sais pas…
— Mais si !
Et pour l’inciter à s’exécuter, Nadine glisse sa main dans le dos de sa voisine et fait sauter l’agrafe. Alors, en riant, cette dernière retire son chemisier pour se débarrasser. Et c’est l’occasion pour Nadine d’admirer à son tour des mamelons plus volumineux que les siens, mais aussi fermes.
Chacune portant un plateau, elles débouchent dans la salle de séjour. Le contenu met leurs hommes en appétit. La nourriture est certes appétissante, mais les chemisiers mal boutonnés dévoilent nettement l’absence de soutien, d’ailleurs inutile.
— Voici un repas appétissant à tout point de vue, énonce Franck.
— Les mets semblent succulents, mais j’apprécie encore plus la présentation, reprend Bruno.
Et tous éclatent de rire.
L’atmosphère est totalement détendue, le repas apprécié, d’autant que Bruno est allé chercher une bonne bouteille.
La soirée a passé rapidement, ils ont discuté de tout et de rien, comme de vieux amis. Au moment de se séparer, ils se sont naturellement embrassés. Rentrés chez eux, ils analysent ce premier contact.
— Je crois que nous sommes bien tombés, ils ont l’air sympathiques, dit Nadine.
— D’autant que toutes deux vous avez détendu l’atmosphère. C’est toi qui l’a dévergondée ?
— Je n’allais pas rester seule sans soutif ! Et elle n’a pas fait de difficultés pour m’imiter.
— Nous n’aurons pas besoin de surveiller notre tenue.
Le lendemain, dès le matin, les portes des appartements sont ...
... restées ouvertes, chacun occupé dans son logement. Les hommes se sont aidés pour déplacer les meubles, les femmes pour la cuisine. Ils ont partagé le repas, une véritable amitié s’est amorcée.
Le mois de juin est chaud. Les journées sont longues, et le soir au retour du travail le soleil est encore haut. Nadine trouve la loggia formidable pour bronzer. Personne en face, elle conserve seulement un string.
— Tu me donnes une idée, je vais faire comme toi, s’exclame Elodie tirant Nadine de sa torpeur.
— Si tu savais comme on est bien, mieux qu’à la plage, on est plus tranquille.
Les balcons ne sont séparés que par une grille, aucun des deux couples n’a jugé utile de se protéger de la vue de ses voisins. Elodie ressort bientôt dans le plus simple appareil.
— Je ne tiens pas à avoir des traces, ça fait moche, la marque du string.
— Oh ! tu as raison, je vais faire comme toi, lui répond Nadine.
Et bientôt, nues, allongées, elles papotent.
Le glissement de la baie vitrée les avertit d’une présence. Bruno arrive et vient embrasser son épouse.
— Oh ! Voilà qui me met en appétit et me donne des idées !
— Qu’est-ce que c’est ou plutôt qui c’est qui te met en appétit ?
Surpris, il lève les yeux et aperçoit Elodie dans la même tenue.
— Excuse-moi, je ne t’avais pas vue.
— Ne t’excuse pas, c’est normal, nous ne voulons pas arriver toutes blanches sur la plage.
— J’apprécie qu’Elodie soit dorée quand on débarque dans le midi, intervient Franck qui vient ...