De très bons voisins
Datte: 25/04/2021,
Catégories:
fh,
voisins,
amour,
pénétratio,
nonéro,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... suis votre nouveau voisin.
Posant les cartons sur le palier, l’homme se redresse en souriant, tend la main.
— Bonjour, je ne savais pas que vous étiez déjà là. Je vous ai réveillé en heurtant votre porte avec un carton ?
— Ce n’est pas grave, hier c’était nous qui emménagions et il nous faut ranger. Autant s’y mettre le plus rapidement possible. À bientôt, que nous fassions mieux connaissance.
— À bientôt.
Le parfum du café embaume la cuisine. Vêtue d’une mini-nuisette, sa compagne s’affaire devant la table à préparer le petit déjeuner. Passant derrière elle, il empoigne ses seins et lui pose un baiser dans le cou.
— Laisse-moi finir, lui dit-elle.
— On n’a pas inauguré notre chez nous.
— Tu n’avais qu’à me réveiller hier soir, maintenant j’ai trop faim.
— Moi aussi, mais de toi…
— Laisse-moi manger.
Mais, n’écoutant que son désir, il la fait pivoter et lui ferme la bouche d’un baiser passionné. Ses mains empoignent ses fesses afin de la coller contre lui pour lui faire apprécier son désir. Elle proteste, sans trop de conviction. Rapidement, pantalon et slip sont dégrafés et une colonne avantageuse vient s’appuyer contre elle.
— On ne va pas faire ça dans la cuisine, lui dit-elle, viens.
Elle part en courant, jetant sa nuisette au passage. Bruno finit de se dépiauter et la rejoint. Sur le lit froissé, étendue sur le dos, bras en croix, jambes écartées, elle l’attend. Leur plaisir, c’est une approche lente qui fait grandir leur désir.
Étendu à ...
... côté d’elle, il la regarde. L’admiration qui se lit dans ses yeux comble sa compagne. Sa bouche approche du visage. Des baisers depuis le front jusqu’au menton en finissant par la bouche. Une main part en reconnaissance sur le corps pourtant déjà bien connu. Le parcours est toujours le même, comme balisé, les lèvres suivant la main. Les petits seins fermes aux larges aréoles surmontées d’un gros bourgeon sombre forment un contraste étonnant. Les dents en saisissent un et l’agacent. C’est une légère douleur qu’elle adore, qui lui donne des frissons dans tout le corps. Les doigts pincent l’autre afin qu’il ne soit pas jaloux. C’est le déclenchement du chant féminin. Longtemps, il insiste sur les mamelons, attendant que les gémissements, témoins du plaisir, s’amplifient. Nadine saisit soudain sa tête et la place entre ses cuisses écartées. La mousse blonde peu abondante laisse apparaître son coquillage rose. Bruno en entreprend le nettoyage. Sa langue frôle d’abord la commissure des lèvres, glissant ensuite plus profondément. Elle lui prend la tête, l’oblige à remonter un peu plus haut. Le bouton est démasqué, dégagé, agacé, mordillé. Un doigt vient se glisser dans la fente, remonte, s’imprégnant de la liqueur qui commence à sourdre. Longuement, Bruno continue ce travail de sape. Changeant de cible, le doigt inquisiteur vient investir la porte de service. Le ton du gémissement monte brutalement. Nadine lui saisit le visage et l’attire vers sa bouche, s’écriant :
— Viens, ...