Mon éveil de soumise (5)
Datte: 25/04/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory
Assise dans le salon toujours nue, avec Pierre, j’étais sur un petit nuage ; mes fesses, ma chatte et mes tétons étaient délicieusement douloureux, souvenirs de ce que j’avais subi pendant cette soirée d’initiation.
Je me tenais jambes écartées devant lui avec une impudeur que je ne me connaissais pas.
Aussi affamée qu’assoiffée par ce que je venais de subir, je buvais ce grand vin blanc très frais qu’il avait servi en avalant des zakouski » posés sur la table basse.
Il m’avait fait part de sa satisfaction quant à mes qualités de soumise novice ; j’en étais fière et j’espérais qu’il me proposerait de revenir.
— Te sens tu prête à aller plus loin ? Je n’hésitais pas « Oui Monsieur ».
— Aller plus loin signifiera devenir plus endurante, subir plus d’humiliations.
— Je le souhaite, Monsieur, je m’enhardis en lui demandant s’il était disposé à m’en dire plus. J’avais le sentiment d’être allée déjà très loin cette nuit-là, mais je souhaitais aussi nourrir mes fantasmes jusqu’à la prochaine fois.
Il y était favorable et me dévoila quelques « pistes » ; il égrena ainsi les sévices à venir de sa voix grave à laquelle je n’étais pas insensible.
— Commençons par les étirements ; au fur et à mesure des séances, tu devras supporter des poids de plus en plus lourds ; tu le comprends n’est-ce pas ?
Je me souvenais de la difficulté que j’avais eue, dans la chambre, à tracter ces poids posés sur mes tétons et sur ma chatte, mais je décidais de le satisfaire ; je ...
... m’entraînerai chez moi, ainsi, lorsque je le reverrai, il sera fier de mes progrès.
— Je comprends bien, Monsieur, je le ferai.
— Fessée, martinet et autres ; pour cette première séance, je n’ai pas utilisé la badine sur tes fesses ; il faudra que tu t’y prépares.
Posée sur la table, je pouvais voir cette tige de bambou qu’il n’avait en effet pas utilisée.
Je n’avais jamais été « traitée » à la tige de bambou et j’essayais d’imaginer la douleur que l’instrument devait infliger.
— Je vais te montrer une vidéo d’une soumise qui se fait fesser ainsi.
Il se leva, apporta son ordinateur, s’assit à côté de moi et lança un film qui durait 15 minutes.
Le film était allemand ; une femme assez jeune, poignets attachés se faisait frapper le cul à coups de bambou ; je pouvais voir les marques rouges sur ses fesses, sa Maîtresse prenant un soin sadique à revenir frapper aux mêmes endroits. Je n‘étais pas sûre de pouvoir supporter cette punition, aujourd’hui en tout cas.
Je pensais que Pierre était assez bienveillant pour qu’il accepte ma réticence ; lorsque je l’exprimai, je crus lire une légère déception, mais très vite il me sourit ; «Je t’entends Fabienne ; nous remettrons ça à plus tard ».
Bienveillant, mais il ne renonçait pas.
— Je vais maintenant te montrer une autre vidéo que j’ai réalisée pour illustrer une autre épreuve à venir.
Il lança un autre film ; je pouvais reconnaître les lieux, ce salon où nous étions. Une belle femme, la cinquantaine, ...