1. Leïla, maman soumise (2)


    Datte: 11/05/2018, Catégories: Trash, Auteur: pomplard, Source: Xstory

    ... retourne chez moi. Tu auras tout perdu.
    
    · …
    
    · OK ; au prochain virage tout sera fini. Moi je pars à gauche chez moi, et toi à droite dans ton appartement, seule à repenser à cette journée et à rêver de ce que j’aurais pu te faire.
    
    · …
    
    Arrivée à l’intersection, elle lance comme une bouée à la mer :
    
    · J’ai envie que tu me baises !
    
    · Comment ?
    
    · Comme une salope. J’ai envie que tu me baises comme la dernière des salopes !
    
    · Voilà enfin ! Maintenant on peut passer aux choses sérieuses.
    
    · Tu me fais peur, là…
    
    · Tu as raison d’avoir peur : tu vas récupérer tes longues années d’abstinence ; et tu as tiré le plus pervers des pervers comme lot.
    
    Elle ne dit plus un mot jusqu’à l’immeuble. Elle se dirige vers l’ascenseur ; je la retiens.
    
    · Non, on va à la cave.
    
    · A la cave ?
    
    · Oui. Une chienne comme toi, ça ne se baise pas dans un lit.
    
    J’ouvre la porte de l’escalier pour descendre à la cave, et après qu’elle soit passée je la suis. Instinctivement, elle se dirige vers sa cave. Je lui saisis le bras et lui fais faire volte-face. Face à moi, je la plaque contre le mur en parpaings bruts et je l’embrasse fougueusement, baiser qu’elle me rend immédiatement.
    
    Ma main gauche passe sous sa jupe et saisit son cul ferme. Elle gémit immédiatement. Je recule légèrement pour la regarder droit dans les yeux quelques instants, puis mes mains s’approchent du décolleté de son pull et tirent d’un coup sec dessus. Après deux ou trois tentatives, son pull ...
    ... cède ; il est ouvert assez largement pour laisser apparaître ses seins libres et déjà irrigués devant moi. Par reflexe, elle croise les bras devant sa poitrine pour essayer de la cacher. Elle a le souffle court et son regard balaye le mien et la porte d’entrée des caves. Je lis dans son regard la frayeur de se faire surprendre par un voisin. Moi, cette situation m’excite encore plus.
    
    Je la prends par les poignets et lui mets les mains derrière la tête, libérant par la même occasion ses seins magnifiques. Je fonds dessus avec gourmandise, saisis un des tétons et le tète goulûment. J’alterne entre les deux, ce qui après quelques minutes lui fait lâcher quelques soupirs de plaisir. Comme elle résiste moins au niveau des poignets, j’en profite pour les lâcher et passer à la phase suivante : je lui retire son manteau et l’étale par terre.
    
    · Retire ton pull, salope !
    
    Tétanisée, elle obtempère. Debout et topless, elle n’ose bouger d’un doigt.
    
    · A quatre pattes, chienne !
    
    Elle regarde une énième fois la porte. Je l’attrape par les cheveux et lui fais accélérer le mouvement ; elle tombe à genoux. Je n’attends pas une seconde de plus : j’ouvre mon pantalon et enfourne ma bite dans sa bouche. Je ne lui laisse pas le temps de se positionner ; je pilonne sa bouche avec rage. Des bruits de succion résonnent dans se couloir glauque et poussiéreux. Des filets de bave coulent sur sa poitrine. Tout en lui baisant la bouche, je lui
    
    gifle les seins qui rougissent de plus en plus. ...
«1...3456»