1. Leïla, maman soumise (2)


    Datte: 11/05/2018, Catégories: Trash, Auteur: pomplard, Source: Xstory

    ... hâte. Dans la journée, je cherche une esthéticienne libre pour le lendemain matin et prends rendez-vous pour une épilation intégrale de Leïla. Le soir même, je montre les messages et la photo à Delphine, et comme pour marquer son territoire, elle me prodigue une pipe de tous les diables et me laisse me répandre sur son joli visage et ses seins. Je la reconnais à peine : chaque fois que je lui parle de Leïla, elle devient une nympho incontrôlable. Je pense que je vais bien m’amuser.
    
    Le lendemain, tout se passe comme prévu. J’arrive à l’école et je vois Leïla qui m’attend, vêtue d’un manteau qui lui arrive à mi-cuisses. Je lui fais la bise et lui demande d’ouvrir son manteau. Elle est habillée d’un pull en laine au col en V ; le décolleté et assez grand pour voir le sillon de ses seins. Elle porte également une petite jupe plissée légèrement plus courte que son manteau, et pour finir une paire de Louboutin aux pieds. Après quelques futilités devant les autres parents, nous partons en direction de chez elle.
    
    On monte dans l’ascenseur ; la porte à peine fermée, je lui saute littéralement dessus. Ma main droite l’attrape par ses cheveux magnifiquement coiffés, ma bouche se pose sur la sienne et ma langue force la barrière de ses dents pour trouver la sienne. Ma main gauche quant à elle passe sous son pull et empoigne le premier sein venu. Elle est obéissante : elle ne porte pas de soutien-gorge. Le baiser dure jusqu’à l’arrivée au septième étage.
    
    La porte s’ouvre ; une ...
    ... vieille dame – une de ses voisines – est choquée par ce qu’elle a aperçu, Leïla se rhabillant et sa coiffure défaite. Je la croise avec un grand sourire et elle me répond par un souffle de consternation. Je souris en rejoignant Leïla à sa porte. Elle me signale que c’est une vieille mégère et qu’elle a des soucis avec elle : elle n’arrête pas de taper à sa porte en râlant qu’elle fait trop de bruit avec sa fille. Je lui assure qu’elle ne va pas arrêter de sitôt, vu tous les cris qu’elle va entendre ! Sur ces mots, je la colle contre sa porte, reprends mon roulage de pelle et commence à mettre une main sous sa jupe. Entre deux respirations, elle ouvre sa porte avec grande difficulté. Je la pousse à l’intérieur, lui ôte son manteau et son pull. D’un ton sec, je lui ordonne :
    
    · A genoux !
    
    Elle obéit. Pendant ce temps, j’ouvre mon pantalon et sors ma bite déjà toute raide de désir. A peine en position, j’agrippe ses cheveux et lui engouffre ma colonne dans la bouche. Comme le désire Delphine, je ne fais pas de sentiment avec elle, je lui baise la bouche. Mon gland racle sur ses dents ; elle bave en abondance et essaie de retenir le mouvement en posant ses
    
    mains sur mes cuisses. Je tire sa tête en arrière et lui assène une gifle en lui disant qu’elle n’a qu’à subir, et que si elle continue je lui accroche les mains dans le dos. Ses mains restent sur mes cuisses mais il n’y a plus de résistance dans ses bras, elle subit mon rythme. Après plusieurs haut-le-cœur et des filets ...
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