1. Astrid et Julia (1)


    Datte: 10/05/2018, Catégories: Trash, Auteur: imaxparis, Source: Xstory

    ... faites pas du tout.
    
    — Mon mari en a quinze de plus et c’est un handicap.
    
    — Un handicap ?
    
    — Oui parce qu’il me délaisse. Il ne me fait pratiquement plus l’amour...
    
    Décidément dans la famille on va droit au but ! Elle continue sur sa lancée :
    
    — De toute façon il n’a aucune imagination et il n’arrive pas à me faire jouir. Je simule à chaque fois un orgasme pour qu’il finisse rapidement. Vous voulez devenir mon amant, je vous trouve à mon goût et j’aimerais bien qu’on fasse l’amour tous les deux ?
    
    — Et bien vous alors ! Je ne m’attendais pas à avoir une proposition aussi directe de votre part.
    
    — Tu peux me tutoyer tu sais. On est appelé à se revoir si tu en as envie. Tu aimes mes seins ? Touche-les ! Personne ne nous regarde...
    
    J’y vais direct, je plonge ma main dans son décolleté et je palpe sa poitrine. Sa respiration s’accélère et ses yeux chavirent.
    
    — Oui ils sont très beaux, comme je les aime. Tu es une femme désirable mais il faut qu’on s’arrête là car on pourrait nous voir. Que vont penser de toi nos voisins s’ils nous surprennent ?
    
    — Tu as raison. Il y a des toilettes à l’étage je te rejoins dans cinq minutes.
    
    — Tu ne crains pas que tes invités te cherchent ?
    
    — Non mon mari les accapare suffisamment. Et puis j’ai tellement envie de jouir que ça ne va pas durer longtemps. Je suis sûr que tu as une belle bite. D’ailleurs je ne le vois bien rien qu’à la bosse que fait ton pantalon. Vas-y à toute suite !
    
    Mon sexe est à l’étroit dans mon ...
    ... slip et j’ai très envie d’elle. Je monte discrètement à l’étage où je trouve les WC. C’est une maison moderne et ils sont très larges pour permettre l’accès des personnes handicapées.
    
    Elle me rejoint dans les minutes qui suivent. J’ai déjà enlevé mon pantalon et mon slip. A peine le verrou fermé elle se jette sur mon vit à moitié durci et l’avale goulûment. Je ne tarde pas à bander dur. La situation est explosive.
    
    — Quel beau morceau ! Je le veux tout de suite !
    
    Elle se tourne face au mur, relève sa robe ; pas de culotte, la cochonne ; écarte les cuisses et me dit crument :
    
    — Enfile-moi !
    
    Je m’exécute et dirige mon sexe dans son antre. Elle est trempée, ça entre tout seul. Ma bite est enserrée comme dans un étui de velours. D’une seule poussée rectiligne je prends possession de sa chatte. Elle feule. Elle gémit. Elle n’attendait que ça. Aucune parole entre nous, tout est dans l’action brutale que nous avons tous les deux. Ses muscles internes entrent en action et travaillent mon mandrin qui durcit encore plus. Elle est chaude. Tout est délice chez cette femme. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps et à sa manière d’agir, elle non plus. Je me retire de sa vulve pour y replonger à nouveau, brutalement, et atteindre le fond de sa matrice. Elle pousse un cri vite étouffé et je l’inonde de mon sperme.
    
    Elle se redresse et se retourne vers moi. Elle ajuste sa robe et me dit :
    
    — Hum ça fait du bien, tu es un sacré amant. Il y a bien longtemps que je n’avais ...
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