1. Le 31 décembre, on défonce à fond (fin de la parti


    Datte: 10/05/2018, Catégories: Anal Gay Auteur: etienneguy48, Source: xHamster

    ... m'oblige à vous quitter pour quelques minutes, avisai-je mes compagnons avant de prendre le pas vers l'une des nombreuses salles de bain du manoir, bien heureux que le mec aie compris que lui aussi avait un besoin qu'il devait assouvir.
    
    Je me rendis donc à la salle de bain, laissant la porte entrouverte et m'empressai de baisser mon pantalon. Lorsque le mec entra, j'étais déjà dans une position qui démontrait parfaitement que j'attendais avec impatience qu'il m'enfonce sa queue dans le cul. Je m'étais appuyé contre la toilette, ayant posé un genou sur la cuvette de sorte à lui offrir un cul bien ouvert. Je croyais qu'il allait s'empresser de me fourrer mais il préféra y glisser sa langue avant de me manger avec ferveur, me claquant les fesses avec ardeur. Ça me changeait des deux précédents mais j'espérais tout de même qu'il ait le goût de me labourer. Sa langue rugueuse me léchait l'arrière-train, opérant une pression sur ma rosette et il se décida à m'enfoncer sa queue bien dure que je reçus en laissant entendre un cri de plaisir. Il y allait avec joie, sortant sa bite et l'entrant à nouveau de grands coups en me traitant de chienne, de salope, de pute et j'aimais ça. Je ne possédais plus aucun contrôle, laissant ce mec s'occuper entièrement de moi et il y parvenait parfaitement. Ce dont j'ignorais, c'était qu'il avait laissé la porte ouverte et quelle ne fut pas ma surprise en apercevant l'arabe, droit devant moi, la queue bien en vue, bien droite, prête à être sucée. ...
    ... J'ouvris donc la bouche et il s'y enfonça avec plaisir. Nul doute qu'il nous avait suivi le petit pervers, sachant bien en voyant le mec me suivre que je me ferais baiser bien à fond et je dois avouer que le mec me fourrait avec entrain, poursuivant ces injures. Dans cette position, il avait bien raison de me traiter de tous ces noms et je l'assumais car, de toute façon, en cette soirée, nous étions tous des chiennes, des salopes, des putes mais marquées par le sceau de la noblesse. Un duc suçant un marquis qui regardait un prince m'enculer, voilà une belle histoire qu'Élisabeth-Charlotte de Bavière, dite la Palatine, aurait pu écrire dans ses nombreuses lettres au temps de Louis XIV.
    
    Bien entendu, à force de me labourer, le mec joui en moi, se retirant aussitôt pour quitter la pièce, me laissant seul avec l'arabe qui s'empressa de se placer derrière moi, dirigeant sa queue entre mes fesses. C'était à son tour de m'embrocher et pas question qu'il fasse autrement.
    
    - Tu aimes qu'on t'insulte?
    
    - J'aime surtout qu'on m'enfonce sa queue dans le cul, lui répondis-je. Peu importe la façon, du moment que nous ayons du plaisir.
    
    Il ne se fit pas prier et m'enfiler sa bite, opérant immédiatement avec des mouvements de va-et-vient assez profond et à toute vitesse. Ce mec savait fourrer, je vous le jure. Je ne parvenais plus à retenir ma respiration de plus en plus haletante et la sueur commençait à couler sur ma peau. Et tout à coup, il cessa et reprit mais cette fois-ci plus ...
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