1. L'histoire d'un couple en résumé


    Datte: 23/04/2021, Catégories: Masturbation Partouze / Groupe Hardcore, Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... Tu veux attirer les regards sur toi en mon absence, c’est ça ? Tu veux allumer ? »
    
    « Pauvre con, dit-elle. »
    
    « Ouais, c’est ça. Je suis un pauvre con, et toi tu es une salope. »
    
    « Je ne te permets pas ! »
    
    « Je n’ai pas besoin de ta permission. Soulève ta robe. »
    
    « Quoi ? »
    
    « J’ai dit : soulève ta robe. »
    
    Nous étions ensemble depuis trois ans et n’occupions cette maison que depuis deux. Nous n’avions pas vraiment de projet ensemble, car nos boulots nous prenaient beaucoup de temps et d’énergie. Mais en dépit de cela et de nos conflits à répétition, nous étions toujours parvenus à trouver des moments pour baiser. Au moins deux fois par semaine. Le mardi et le vendredi soir, en général. Le samedi en hiver, quand nous nous mettions à moins sortir. Une fois sur deux, nous apprécions de le faire devant un film porno glané sur Internet. Karine aimait se masturber à mes côtés, dans le canapé du salon, en matant des inconnus qui s’envoyaient en l’air. Et j’aimais ça aussi : mater des chattes et des culs à l’écran, pendant que ma nana se branlait à mes côtés. Et nous finissions toujours par baiser, dans le canapé ou dans la chambre, en se racontant des choses à voix haute.
    
    « Soulève ta robe. »
    
    « Va te faire foutre, dit Karine. »
    
    « Soulève-la, sinon c’est moi qui vais le faire. Il me suffit de tendre la main. Putain, soulève ta robe, je veux savoir quelle culotte tu as mis. »
    
    « Qu’est-ce que ça peut te foutre ? Lâche-moi. »
    
    « Montre-moi ta culotte, ...
    ... sinon… »
    
    « Sinon quoi ? »
    
    « Sinon je me branle devant toi, là, dans le couloir. Montre-la moi. »
    
    Elle ne répondit pas. Elle ne bougeait plus, elle me fixait du regard.
    
    « Soulève ta robe, Karine. »
    
    Pas de réponse.
    
    « Mais putain, soulève ta robe ! Je ne vais pas t’empêcher d’aller à ta soirée ! Soulève-la, je te dis ! »
    
    Des instants de silence s’écoulèrent encore, sans qu’on ne se dise rien. On se regardait, c’était tout. Les yeux emplis de rage, de jalousie, tout ce que vous voulez. Je lui barrais le passage et elle allait être en retard.
    
    Alors elle a fini par saisir le bas de sa robe.
    
    Et par la soulever, lentement.
    
    Jusqu’au-dessus de la lisière de ses bas, puis plus haut, le long de ses cuisses, sans me quitter des yeux.
    
    Et encore plus haut.
    
    Elle n’avait pas de culotte.
    
    « Salope, dis-je. »
    
    Elle ne répondit pas.
    
    « Lève-la encore. »
    
    Elle la leva.
    
    J’aimais sa chatte lisse. Elle l’avait eue poilue pendant un temps, mais à force de jouir devant des films où des femmes de son âge l’avaient rasée, elle avait fini par le faire aussi.
    
    J’ai répété :
    
    « Salope. »
    
    Puis :
    
    « Tu vas sortir sans soutif ni culotte, espèce de salope. Tu n’auras que ta robe à soulever et tes cuisses à écarter pour te faire sauter, c’est ça ? Et pour te faire enculer, espèce de pute. »
    
    Sur ces mots, j’ai déboutonné mon pantalon et sorti ma queue qui était raide à m’en faire mal.
    
    Karine n’a pas dit un mot. Elle me montrait toujours sa chatte. Elle ...