Pris en flagrant délit
Datte: 10/05/2018,
Catégories:
hh,
fhh,
jeunes,
inconnu,
copains,
bain,
Masturbation
intermast,
Oral
inithf,
inithh,
Auteur: Jobix, Source: Revebebe
J’avais passé un début de nuit agité, partagé entre un désir de plus en plus marqué et par cette évidence, du moins le pensai-je, que je devenais « pédé ». Il me fallait penser alors à cette femme que nous avions admirée, nue en train de se masturber, pour recouvrer une certaine raison, et me dire que finalement je n’avais ces attouchements avec Alexandre qu’en raison de mon abstinence forcée auprès des filles. Mais qu’en était-il de lui ? Sa façon d’insister me troublait profondément et pourtant rien d’autre en lui n’indiquait qu’il avait des penchants homosexuels. J’avais tout de même l’impression de commettre des actes répréhensibles, ne pouvant imaginer qu’on pouvait à la fois adorer les filles, leur faire l’amour et aimer toucher la bite de son meilleur copain. Pour me distraire de ces divagations érotiques qui me faisaient à nouveau bander dans mon lit, un violent orage éclata qui me fit penser que notre belle inconnue ne viendrait probablement pas à notre « rendez-vous », si le temps était aussi pluvieux.
Par bonheur, le lendemain, une petite brise chassa les nuages, le soleil sécha le paysage et nous apporta une chaleur somme toute agréable, sans être aussi forte que la veille. Alexandre et moi décidâmes donc de retourner à notre poste. Avant de partir, malgré mes réticences, il me força à aller acheter une revue pornographique chez notre libraire. Il prétexta que notre attente pourrait être longue, voire vaine, et que cela nous ferait de la bonne lecture. ...
... J’étais cramoisi de honte lorsque je présentai la revue à la caisse. Le libraire fit comme si de rien n’était, comme si je lui présentai un magazine anodin. J’étais soulagé à la sortie de constater que personne de ma connaissance ne m’avait vu avec.
Arrivés sur les pentes de la rivière, nous nous sommes installés comme d’habitude de manière à ne pas être vus lors de son arrivée. Le sol était sec et nous attendîmes allongés, à l’affût, parlant de tout et de rien en évitant d’aborder le « sujet ». Au bout d’une heure, il fallut se rendre à l’évidence qu’elle ne viendrait plus et nous décidâmes de nous baigner. Comme la veille nous nous déshabillâmes. Je décidai de tourner le dos à Alexandre pour éviter toute tentation, et à peine fus-je nu que je me jetai à l’eau pour effectuer les quelques brasses que permettait l’exiguïté du bassin naturel que faisait la rivière à cet endroit. Alexandre prenait son temps, et je fus très surpris de le voir se baigner en bermuda. Je ne sus qu’en penser, sinon que ça semblait marquer la fin de nos aventures sexuelles communes, ce qui satisfaisait ma pudeur. Pourtant, au plus profond de moi, j’étais un peu déçu.
Nous avions amené nos serviettes et je m’allongeai le premier sur la plage pour me sécher et je m’assoupissais en essayant de penser à autre chose qu’à mes lèvres sur son sexe. Soudain un froid humide m’envahit : Alexandre s’allongeait sur moi, tout mouillé. Je le repoussais violemment en jurant, ce qui le fit rire. Je compris, un peu ...