1. Une brève histoire : Maria


    Datte: 22/04/2021, Catégories: Hardcore, Masturbation Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... connaissance. On a des bières, j’ai de la musique. Et puis je n’ai pas envie de dormir toute seule. »
    
    J’ai ravalé ma salive.
    
    Puis je me suis mis à bander, doucement.
    
    Et je me suis répété ces paroles : je n’ai pas envie de dormir toute seule.
    
    Je ne connaissais pas cette fille. Et mon pote ignorait que j’étais sur le point de lui rendre visite avec des bières, c’est vrai. De plus, Maria avait de gros seins. Et j’avais un peu bu. Elle aussi.
    
    Je n’ai pas envie de dormir toute seule, me répétai-je en la regardant.
    
    Alors je lui ai répondu bêtement :
    
    « Tu habites où ? »
    
    Elle a souri et dit :
    
    « A deux minutes de là. »
    
    Il y a eu des soirs comme ça, dans ma vie.
    
    Avec des bières, de la musique, des sirènes de police qui traversaient la ville, au loin. Il y a eu Maria, ce soir-là. Elle faisait du théâtre et elle vivait toute seule, comme moi, dans un studio un peu plus petit que le mien. Les murs étaient couverts d’affiches de films et de photos de soirées passées avec des potes, à boire, à discuter, à écouter de la musique.
    
    C’est la vie.
    
    J’ignore combien de bières on avait bu et l’heure qu’il pouvait être lorsque Maria m’a dit qu’elle avait sommeil et qu’il fallait qu’elle aille se coucher. Au moins deux heures du matin. Il y avait des cadavres de bouteilles sur sa table basse et je l’ai vue se lever pour aller aux toilettes. A la sortie, elle était en culotte, les seins à l’air. De gros seins blancs qui tombaient un peu. Une culotte noire, très ...
    ... sobre, qu’elle enleva à deux mètres de moi avant de se glisser sous ses draps. J’ai seulement aperçu sa chatte poilue au cours de ces gestes. Une toison claire assez fournie.
    
    Ensuite, je me souviens qu’elle m’a regardé en disant :
    
    « Tu viens ? »
    
    Il y a eu des soirs comme ça, par le passé.
    
    Quand je vivais en ville, seul.
    
    Il y a eu cette chatte-là et d’autres. Mais j’ai bien aimé pénétrer celle de Maria cette nuit-là. On était un peu ivre et je n’ai pas mis de préservatif. Elle était toute mouillée, bien qu’elle ait eu très sommeil, ça se sentait au travers de ses gestes légers, peu insistants. Ça ne m’a pas empêché de bander et de la pénétrer. Ma bite était raide, car il n’y a rien de meilleurs que la chatte d’une fille qu’on connait à peine. Surtout une fille à gros nichons qui tombe de sommeil dans son oreiller. Elle avait douze ans de moins que moi et je me souviens qu’elle m’a serré très fort les fesses au moment où j’ai déchargé au fond de sa chatte cette nuit-là. Sans me poser de question. Sans me demander si elle prenait la pilule, ou pas.
    
    Il y en a eu d’autres, comme ça. Deux ou trois autres.
    
    C’est la vie.
    
    Je n’ai pas d’enfant, à ma connaissance.
    
    J’ai juste les souvenirs un peu flous d’une poignée de nana plus jeunes que moi, qui se sont foutues à poil devant moi, chez elles ou chez moi, puis que j’ai sautées. Des paires de seins et des culs. Des fellations au cœur de la nuit. Et des giclées de spermes, mais pas à chaque fois.
    
    Je ne sais pas ...