1. Un mari peu entreprenant et sa femme ...


    Datte: 21/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou BDSM / Fétichisme Première fois Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... rétrograde. Je suis dans la chambre. La caméra n’est pas si mal placée. Elle englobe le lit, la porte d’entrée et la porte de séparation. Elle m’a montré la « farce » que les comparses m’ont jouée. Elle me montre comme un « Off » de journaliste ce qui se passe alors que le couple s’est formé après mon départ.
    
    Le baiser qui se transforme en bataille. Les mains des deux amants qui cherchent à dénuder son partenaire. Le contact des deux corps, peau contre peau, sexe contre sexe.
    
    La frénésie des deux qui cherchent à caresser l’autre. La prise en main par l’homme de leur désir.
    
    Le lit sur lequel lui s’est allongé, et elle qui le surplombe dans un 69 qui est une réponse de connaisseur pour que chacun puisse caresser l’autre. Le mélange des bruits, plaisirs que chacun apporte à l’autre. Clarisse le suce. Ce n’est pas la fellation décrite par eux ! Ce n’est pas celle qu’elle m’a faite, mais une fellation plus sage, moins profonde même si la coquine s’évertue à le satisfaire au mieux. Et lui qui pendant ce temps, la lèche avec comme écho à ses caresses entend le grondement amortis par ce qu’elle a en bouche.
    
    — Attends. Arrête, je vais venir.
    
    Hé mec, elle t’a drôlement excité pour que cela monte si vite. Remarque je comprends ton impatience après le rôle qu’elle t’a fait jouer. Qui n’aurait pas été troublé par ce que tu décrivais…
    
    Clarisse se relève. Un peu de salive au coin de ses lèvres lui donne une touche de vicieuse. En tout cas elle le regarde extraire un ...
    ... préservatif de sa poche, en déchirer l’enveloppe et le dérouler sur son sexe tendu. Il est bien monté le mec.
    
    Elle va pour s’allonger sur le lit, mais lui, avec un geste montrant la porte de séparation.
    
    — Tu veux bien.
    
    Elle veut bien ! Petit sourire aux lèvres elle se place. J’imagine que comme moi ils entendent leur texte qui résonne encore…
    
    « Tourne-toi… Une chaudasse… Appuie-toi… Montre-moi ton cul… Penche-toi… Écarte bien les cuisses… Voilà. Comme une pute contre un arbre… Comme une chienne qui attend que le mâle la couvre… Hein, que c’est ce que tu veux ? »
    
    « Oui. Prends-moi. »
    
    Pas de doute ! À la façon dont Clarisse se place, je devine que lorsqu’elle a écrit son texte, elle l’a imaginé. Elle se cambre, les mains bien en appui contre la porte, le dos presque à l’horizontale, la croupe est une offrande. L’homme s’avance. Il frotte sa queue contre la fente humide. Il se place. Une main sur une fesse, l’autre qui guide sa bite. Je ne peux pas voir le visage de ma femme, mais lorsque Marc pousse, sans v******e, mais avec résolution, sa queue disparaissant de mon radar pour s’engouffrer dans la chatte de Clarisse, le cri qu’elle pousse en dit long. Long comme ce qui vient de la prendre.
    
    Et en plus je plaisante. Alors que je devrais me fâcher.
    
    Mais cela me paraît si naturel. Quel homme après ce qu’il vient de jouer n’aurait pas envie de sa partenaire ? Et elle, après ses gémissements, ses paroles d’encouragement et tout le poids du non-dit, comment ne pas ...