1. Veillée funèbre (4)


    Datte: 21/04/2021, Catégories: Hétéro Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    Ma première nuit de deuil. 4
    
    Il se retire de mon sexe et je m’attends à l’estocade. Je suis prête au pire mais au lieu de sa verge, c’est sa langue qui joue une danse subtile autour de mon anus. Une caresse humide, presque un chatouillis à nul autre pareil, tourne dans les replis fripés de mon petit trou comme une démangeaison presque insupportable.
    
    Suite :
    
    Je me retiens de ne pas hurler mais la sensation s’estompe au profit d’une pression de ses doigts, je sens ma rosette qui les accueille avec plaisir. Je reprends un peu de courage et de volonté devant l’inéluctable tellement c’est agréable. Au moins lui, il prend quelques précautions avant l’instant fatidique !
    
    — Tu sens mes doigts qui bougent dans ton cul ?
    
    — Oui je les sens bien, tu le trouves beau mon petit trou ?
    
    — Oui, mais je vais l’aléser pour voir l’intérieur quand je vais te fourrer !
    
    Il rajoute un doigt.
    
    — Que ressens-tu ? Tu as mal ?
    
    — C’est plus serré et ça brûle un peu.
    
    — Serre les dents.
    
    Chaque doigt a amené sa dose de plaisir, je jouis à chaque nouvelle brûlure, écartelée par ses gros doigts qui vont et viennent en moi ponctués de mes :
    
    — oui... oui. Ooouuuiii ! Encore !
    
    Après une brève accalmie après cette tempête de sensations, la chose que je sens presser ma corolle est beaucoup plus grosse. Ça ne peut être que le gland de son énorme queue luisante de ma cyprine.
    
    Son défonce-cul s’enfonce de la longueur de son gland me faisant serrer les dents, le reste suit, ...
    ... c’est plus dur, plus gros, ça brûle encore mais le plaisir renait, je suis pourtant complètement défoncée. Mon anus complètement dilaté, Anselme pousse son museau de quelques centimètres avant de me demander, inquiet ou bien juste pour me narguer :
    
    — Ça va, Madame ? Je continue ou...
    
    — Oui, oui ça va ! Mais putain que t’es gros mais c’est si bon ! Je lui rétorque dans un gémissement de plaisir.
    
    Anselme entreprend un lent mouvement de va-et-vient, enfonçant maintenant sa poutre aisément et profondément dans mon cul dilaté. Je gémis de plaisir et de douleur.
    
    Il ne me demande plus mon avis maintenant, il est penché derrière moi, ses mains agrippées sur mes hanches et il m’enfourche, me chevauche, je sens qu’il presse mes fesses, ce n’est que du plaisir tant je suis ouverte. Il me sodomise bien à fond et je sens son ventre taper sur mes fesses, ses grosses couilles frapper ma chatte.
    
    Ses va-et-vient de faibles amplitudes vont en augmentant quand je bouge mes fesses à la rencontre de son pal. Il devient comme fou, me défonce l’anus, ses couilles fouettent ma chatte il cadence ses pénétrations à un rythme qu’il ne pourra pas tenir bien longtemps.
    
    Ma litanie de mes oui ... oui... de plus en plus fort se transforme en cris maintenant, les cris d’une femme qui jouit :
    
    — Ahhhhh ..... ahhhhh....... ahhouiiii ..... ahhhouiiiil que c’est booonnn........ Plus vite... plus fort ouiiiiiiiii !
    
    Nous sommes en sueur qui perle sur notre peau et dans le cercueil. Je ne sais ...
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