1. L'éducation d'une bourgeoise BCBG suite 8


    Datte: 21/04/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Sir Steph, Source: Hds

    ... J'approche le tuyau du karcher près du corps de S… et immédiatement j'ouvre le robinet. La pression de l'eau est telle que les seins de S… bougent dans tous les sens, son ventre est massé avec vigueur. S… gémit, se retient pour ne pas hurler alors que le jet du karcher s'attarde maintenant sur les lèvres de sa chatte et enfin sur le capuchon de son clito… Il ne faut que peu de temps pour que S… arrive une nouvelle fois au bord de la jouissance.
    
    S… me supplie, ne demande de ne plus arrêter et de la laisser jouir comme, je cite : « une bonne bourgeoise salope, soumise et jouisseuse ».
    
    De tels propos ne peuvent que me satisfaire… j'insiste donc avec ce jet qui « caresse » le bouton d'amour de S… qui, cette fois-ci, jouit de tout son corps… S… grelotte d'excitation, de plaisir, de jouissance mais aussi de froid car il faut bien le dire, l'eau du karcher n'est vraiment pas chaude.
    
    S… hurle comme jamais sa jouissance… tout son corps est tétanisé et tremblant.
    
    S… semble épuisée mais comblée… de fait , Je perds pas une minute pour détacher S… l'essuyer avec un grand drap de bain.
    
    Je la prends dans mes bras et la serre très fort contre moi… S… se frotte et se love contre moi… nos bouches puis nos langues s'entrecroisent. Quelques minutes plus tard, S… se recule pour me chuchoter, timidement, mais avec un sourire qui en dit long : « merci Monsieur, je suis tellement heureuse de vous satisfaire, de devenir la bonne petite pute bourgeoise soumise que vous voulez que je ...
    ... sois… »
    
    A mon tour je remercie S… d'accepter de devenir, que dire, d'être, la Soumise que je souhaite qu'elle soit.
    
    Sans attendre, j'enlève le collier et la laisse qui entourent encore son cou et lui tend un grand sac dans lequel elle découvre progressivement : un porte-jarretelles, une paire de bas, des escarpins…
    
    S… peut ainsi ôter ses effets mouillés et les remplacer par une « parure » plus adaptée pour un retour à la maison…
    
    Je prends S… par les hanches et je lui indique qu'il va falloir retourner dans le bureau pour récupérer son tailleur… et rien que son tailleur… Le premier réflexe de S… est de refuser sachant qu'elle est quasiment nue, et qu'elle ne se voit pas traverser à nouveau ce fameux hall d'exposition.
    
    Son hésitation à le mérite de m'irriter… alors je lui fais une nouvelle proposition : elle choisit son « parcours » certes dans cette tenue minimaliste, mais elle pourra éviter les éventuels regards de passants en se glissant, furtivement et comme elle le pourra entre les voitures, ou alors elle se retrouve à nouveau les poignets attachés dans son dos, le collier et sa laisse accrochés à son cou et c'est moi qui la ramène dans le bureau…
    
    Sans hésiter, S… me présente ses excuses et m'indique qu'elle va retourner dans le bureau dans cette tenue minimaliste avec cette « faveur » de choisir son parcours dans le hall d'exposition.
    
    Nous quittons l'atelier, je m'écarte de S… pour me permettre de l'observer dans ses déambulations.
    
    Par chance, pour ...