1. Des vacances bouillantes (6)


    Datte: 21/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: santiano33, Source: Xstory

    Il est neuf heures, lorsque les odeurs du petit-déjeuner apparaissent dans la ferme. Avec Louise, nous nous réveillons, les enjeux du jour sont bien trop importants. Nous nous câlinons et embrassons, puis nous allons rapidement dans la pièce de vie.
    
    La famille est bien présente, et comme d’habitude, on se salue chaleureusement. Karine est habillée avec sa nuisette noire qui dessine à merveille sa poitrine. Mathieu revient de la cour faisant le constat qu’effectivement, une vitre de la grange a été cassée pendant la nuit, mais que rien n’a été volé.
    
    Catherine est rassurée, et pour tout vous dire moi aussi. La matinée se déroule tranquillement chacun vaque à ses occupations, je garde tout de même un œil sur Gérard. En présence de mon père, il est beaucoup moins collant avec ma belle-mère. Comme de par hasard me dis-je.
    
    Le repas se déroule d’une manière totalement classique. Mon père, ma tante, ma cousine et moi parlons de cet après-midi rivière. Karine ne dit pas un mot, alors que le rictus de mon oncle s’affiche clairement. En effet, ma belle-mère a envie de se reposer. Elle devient alors une cible facile pour lui, la présence de Catherine, serait-elle suffisante pour éviter quoi que ce soit ? La question mérite d’être posée après l’échange de plaisir charnel le soir de notre arrivée.
    
    De notre côté, nous partons en direction de la rivière, mais les interrogations ne lâchent pas mon esprit. Gérard, serait-il le seul fautif ? Karine, serait-elle sérieuse ? À vrai ...
    ... dire, je ne la connais pas vraiment.
    
    Comme un imbécile, j’enfonce la roue de mon vélo dans un trou, et tombe. Mon père et ma tante viennent me voir. J’ai le genou écorché. Les deux finissent par partir à la rivière tandis qu’avec Louise, nous retournons à la ferme.
    
    Nous avançons à pas de loup, Catherine est sur la terrasse puis aperçoit ma blessure. Je m’assois puis elle me passe du désinfectant qui me fait grimacer de douleur. Gérard et Karine viennent aussi à ma rencontre. Après tant d’émotion, je prends la décision de partir dans ma chambre pour me reposer. Ma cousine me suit de près.
    
    Il est l’heure de guetter les faits et gestes. Du haut de notre chambre, avec Louise nous surveillons la cour de la ferme. Nous sommes assis sur nos chaises puis nous patientons. Le temps paraît long, quand soudain Karine arrive avec une sorte de transat et s’installe au soleil en maillot de bain.
    
    Pas très loin, Catherine arrive dans la même tenue. Les femmes ont sans doute décidé de s’offrir un bain de soleil. En même temps, je comprends totalement la femme de la maison qui est au four et au moulin depuis notre arrivée.
    
    Elle est plutôt agréable à regarder malgré un léger surpoids. Ses seins tiennent bien en place et ses fesses ballottent d’une façon agréable, mais j’oublie très vite cet instant, car je ne suis pas ici pour la mater, mais pour surveiller quelqu’un d’autre.
    
    Les deux femmes discutent, depuis la fenêtre, il est difficile d’entendre quelque chose. Ma belle-mère, ...
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