COLLECTION ZONE ROUGE. Le squat, la suite (3/7)
Datte: 20/04/2021,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... bien de conduit car je sens que pour ces garçons en manque de femmes, nous ne sommes que des vides couilles.
Ce ne devrait pas être le moment, mais je pense à Muller.
Pour lui je n’étais certainement que sa vide couille, bien que pour moi la découverte de la perverse que j’ai été capable d’être, prévaut sur toute autre considération.
Je suis aux premières loges quand je vois le vagin de mon amie se contracter et que j'entends les cris de plaisir de Kacem mêlés à ceux plus sourds de Geneviève.
Sa bouche bien remplie doit y être pour quelque chose.
Du sperme déborde de sa chatte tellement il doit la remplir.
- Han, han, hannnn…
Cela me fait penser que Youssef, une nouvelle fois décharge, mais pour remplir l’estomac de la salope que j’accompagne.
Les deux hommes s’étant vidés les couilles se dirigent vers la salle d’eau en parlant en arabe une nouvelle fois.
Geneviève se retourne et appuie sa vulve sur ma bouche, elle en fait de même de son côté sur la mienne.
Étape nouvelle pour moi.
Où vais-je m’arrêter ?
- Gouinez-vous les filles, on va se laver nos queues.
Cet ordre m’aurait paru incongru il y a peu, mais je suis frustrée de la vitesse où Youssef m’a baisé alors je suis contente de découvrir un nouveau volet des jeux pervers que j’ai décidé d’adopter.
Sous ma langue, son clito réagit.
C’est bon, mais depuis que je suis ici, je m’ennuie, alors qu’avec mon amant du squat, chaque minute passée avec lui, était un enchantement, un ...
... dépassement de soi.
Je suis vraiment une fille qui, si je n’y prends garde, va passer dans la zone sombre de la femme que je suis encore, du moins je veux le croire.
Je la fais jouir, mais mes pensées noires m’empêchent d’en faire autant.
Comme les hommes qui ont quitté le bungalow sans un regard ou une parole de contentement pour nous, nous allons mutuellement nous laver le vagin.
Rhabillées, nous quittons le bungalow.
- Alors, qu’en penses-tu, tu t’es éclatée ?
Ça change du sexe de ton mari.
Demain même heure, même tenue.
Au moment de me quitter, Kacem m’a dit qu’il avait beaucoup apprécié le moment passé ensemble.
- Geneviève, hormis le moment avec toi, je n’ai pas entièrement ressenti ce que j’étais venue chercher.
Inutile de m’attendre, cependant, si tu le désires, un café quand tu seras rentrée, je ne dis pas non.
- Tu manqueras aux gars.
Je suis sûr qu’ils vont parler entre eux, mais si c’est ton désir, j’assumerais comme je le faisais jusqu’alors.
De retour chez moi, après une douche réparatrice, en début d’après-midi, je décide de crédibiliser le mensonge que j’ai servi à Sylvain hier.
J’ai remis mes affaires soft.
Mon dieu, quel langage !
Mon cerveau a pris l’habitude d’employer, chatte, vagin, bite, baise, n’oublions pas sodomie ou levrette, il est temps que je me ressaisisse.
Sylvain a dû prendre la voiture, devant avoir un rendez-vous.
C’est ce qu’il fait chaque fois que cela se produit.
Ce soir, il y a des ...