Seul ce soir
Datte: 10/05/2018,
Catégories:
fh,
frousses,
ascenseur,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
intermast,
nopéné,
coupfoudr,
Auteur: Petit Bouquet, Source: Revebebe
... Masturbe-moi.
J’obéis (pour une fois). La jupe est longue, je me débats pour la retrousser. Je n’ai pas trop le temps… je plaque ma main directement sur son sexe. Trempé. Dégoulinant même. La belle est excitée depuis maintenant une bonne heure. Lorsque j’insère un doigt dans son antre, un léger râle sort de sa bouche pulpeuse. Tandis que mon pouce cherche son petit bouton, j’attrape un sein de l’autre main. Un nouveau chuintement. Je ne sais si c’est le contact du clitoris ou la poitrine pressée qui déclenche ce phénomène !
— Plus que deux étages, me dit-elle. Dépêche-toi !
L’index rejoint le majeur, le pouce toujours en action, les palpations persévèrent plus haut aussi.
Les portes de l’ascenseur s’ouvrent alors que ma rousse n’a pas joui. Merde, raté. Pour autant, je ne change pas de tactique et continue mes manœuvres. Je bande comme un âne à la voir ainsi se laisser faire. Et, comme il y a peu, elle dépose sa tête au creux de mon cou, s’agrippe à mes épaules et jouit en silence… Les soubresauts sont plus importants que tout à l’heure. Je suis obligé de quasi la maintenir. Les portes se ferment, j’ai juste le temps de coincer mon pied pour éviter de repartir vers un autre étage.
Je la soutiens et nous sortons de la cabine.
— Quel appartement est-ce ?
Elle me montre la porte de gauche. Je fouille dans son sac et attrape un trousseau de clés.
— La bleue, parvient-elle à articuler.
Toujours en la maintenant — son dernier orgasme devait être copieux ...
... ! —, je l’aide à entrer dans son appartement. Une série de légers bips résonnent. Anne-Catherine débranche l’alarme. Elle reprend un peu de vigueur.
C’est chic et cher ici, je le sens tout de suite. L’appartement est très vaste, le mobilier de marque, de petits tableaux aux murs éclairés par des spots. Alors que je suis en train de visiter les lieux, elle me dit :
— Allons prendre une douche.
Cette courte phrase, anodine, est pleine de sous-entendus. Surtout qu’elle l’a susurrée d’un air lascif.
Elle me guide à travers son domaine. Car il s’agit bien de cela. Long couloir jalonné de plusieurs portes. Quasi au bout, elle entre dans la salle de bains. Plutôt imposante. Il y a une baignoire, un jacuzzi, deux grandes cabines de douche et deux lavabos.
Elle déboutonne sensuellement son chemisier. Je peux enfin admirer sa poitrine. Comme je l’imaginais. Pas très grosse, mais très ferme. J’approche une main, mais elle s’écarte rapidement.
— À toi maintenant.
J’essaie d’aller le plus lentement possible pour ouvrir ma chemise. Mon pantalon est retiré de la même manière. De son côté, elle se défait de sa jupe. Elle se retrouve nue devant moi. Elle a de longues jambes bien dessinées. Ses hanches sont un peu larges, ses fesses aussi… Tout cela, à mes yeux, est un appel à la débauche. J’ai rarement vu une telle sensualité émaner d’une femme.
Elle me tend la main et m’invite sous la douche. Je refuse, sentant le désir trop proche de l’inéluctable. Je me rends dans ...