De humaine à hucow (1)
Datte: 19/04/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Fantazia, Source: Xstory
... doucement le dos ce qui eut pour effet de m’amener à me cambrer exagérément à nouveau, offrant mon intimité sans ménagement, il me souffla d’une voix lente et profonde.
— Chuuuut, tout doux ma belle, tout va bien.
Pour peu que nous n’ayons pas été pas dans cette situation hors de l’ordinaire j’aurais pu croire qu’il s’était adressé à un animal, un cheval ou, dans notre cas, à ce que j’étais en voie de devenir, une vache en chaleur.
Malheureusement toutes les bonnes choses ont une fin, et c’est alors qu’il s’apprêtait à introduire enfin son membre en moi que la sensation des pompes commença à être désagréable. Une partie de moi, une très grande partie même, aurait voulu continuer, mais ma raison eut le dessus.
— Ça commence à tirer, dis-je
— Pardon ?
— Les tire-lait, je pense qu’ils ont fini.
Il revint à l’avant et, au lieu de retirer tout de suite les embouts de mes seins, il tâta ces derniers, les pétrissant de ses deux mains.
— Mais non, il en reste encore, me répondit-il nonchalamment.
— Non, c’est assez, retire-moi ça, on continuera le reste si tu veux, mais sans le tire-lait.
— Si tu insistes... répondit-il, visiblement déçu.
Mais alors que je m’imaginais qu’il allait retirer l’équipement de succion de ma poitrine il me surprit en sortant de sa poche et m’engouffrant dans la bouche d’un seul geste une grosse boule de plastique rouge fixée à deux bandes de cuir. La surprise ne me permit pas d’éviter l’insertion de l’instrument et je ...
... n’eus pas la chance de m’en débarrasser avant qu’il n’attache les deux sangles derrière ma tête, fixant définitivement le bâillon entre mes dents.
— Dommage, j’espérais vraiment ne pas être obligé de passer par là avec toi, me dit-il, désolé.
Puis il revint à l’arrière de moi sous mes mugissements de frustration étouffés.
— Essais de ne pas compliquer les choses, d’accord ?
Cette fois-ci je ne jouai plus. Je fis de violents mouvements de bassins, bougeant de haut en bas, droite à gauche avec autant d’amplitude dans mes mouvements que le permettait l’arche en acier qui me sembla soudain beaucoup plus rapprochée de mon corps que quelques minutes plus tôt.
Vincent ne fut nullement décontenancé, il s’assit tout simplement en tailleur à mes côtés. Espérait-il maintenant que je me laisse faire ? Que je me calme ? Que je fatigue ? Non, impossible, je ne flancherais pas.
Il ne chercha cependant pas à attendre ou me raisonner. Il glissa à nouveau son bras sur mon dos, m’obligeant à nouveau à me cambrer. Sa force tranquille me força à me courber jusqu’à ma limite, c’était inconfortable et ma poitrine déjà très sensible souffrait de plus en plus des étirements répétés de la machine de traite qui prélevait inlassablement la faible quantité de lait toujours emprisonnée dans ma poitrine. J’étais tellement dépassée par les événements que je sentis à peine le lubrifiant qu’il versa su mon anus.
Mon tortionnaire prit ensuite un crochet en métal brillant munit d’une boule de ...