1. Jean et Roger 1


    Datte: 19/04/2021, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Lexi Logos, Source: Hds

    ... faire la route. Et je pourrai m’occuper de vous … ».
    
    Roger se redresse, reste silencieux, la bouche entre-ouverte de saisissement. Jean reprend « vous savez, j’ai compris dès le départ que vous bandez pour moi. Je le savais même avant pour vous avoir aperçu dans les bosquets derrière la salle des fêtes en ville … ». La respiration de Roger s’accélère, sa main continue à lustrer machinalement la fesse du jeune homme de la statue de bois : « oui, si tu veux … » Roger ne sait pas quoi dire. Jean reprend « moi je veux bien, mais c’est moi qui décide de ce que l’on fait ensemble … ».
    
    « Merde … » Roger n’en revient pas. La voix de Jean est ferme, claire et impérieuse. Roger sait déjà qu’il n’est plus le patron. Il est déjà soumis à son apprenti. Il comprend inconsciemment que c’est ainsi depuis le début.
    
    D’une voix mal assurée Roger lâche un timide, « Si tu veux … ».
    
    Le regard de Jean se fait dur, sa voix tranchante « Alors dessape toi et remets-toi au travail … ferme la porte de l’atelier avant ! ». Roger, avec des gestes hésitants commence à se dévêtir après être resté bouche-bée durant plusieurs secondes. « Mets toi nu … totalement …. » Jean réagit à la moindre hésitation de Roger.
    
    Maintenant, Jean et Roger ont repris leur tache. Roger est complétement nu, l’érection bien évidente et ses fesses fermes et dodues exposée à la vue de Jean. « … profite pour sucer la queue … » dit Jean en désignant la verge du jeune de la statue.
    
    Après une brève hésitation, la ...
    ... langue de Roger vient caresser la verge en bois. D’initiative la langue passe sur les bourses. Jean s’est placé derrière Roger et d‘une main, lui caresse les reins. Ses doigts fins jouent avec la pilosité fournie de Roger. D’abord les poils du dos, puis ses doigts s’aventurent sur le torse. En passant sur le sin, Jean pince le téton de Roger, celui-ci lache un bref cri de douleur « Tais toi, ne crie pas, endure en silence … » La voix de Jean est directrice, sans appel. Aucune faiblesse ou hésitation dans ses ordres. Brusquement, la main de Jean descend sur le ventre de Roger et saisi sa verge en érection. D’un mouvement sec, il le décalotte sèchement. Un « ha » de surprise et de douleur sort de la bouche de Roger « En silence je t’ai dit ». « Tu me fais mal » lâche timidement Roger. « Ce n’est rien à coté d e ce qui t’attend » lui réplique Jean. « Tu aimes toujours, tu veux que je m’occupe de toi ? » insiste Jean. « Oui ! » Roger n’a au s’empêcher de s’offrir en victime consentante.
    
    La main de Jean descend alors vers les bourses de Roger que celui-ci à volumineuse, bien dessinées, remplies de deux belles couilles épaisses. Les doigts de Jean enserrent les deux testicules et les serrent avec force. Jean murmure à Roger « Silence, toujours en silence … ». Le souffle rocque Roger supplie « … mais pourquoi ? », « Pour que tu m’aimes comme je le veux ! ».
    
    Jean n’était jamais entré chez Roger. Celui-ci, vieux célibataire, habite la maison attenante à l’atelier à laquelle on accède ...