La gérante de la galerie d'art (9)
Datte: 19/04/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Docsevere, Source: Xstory
... petite grosse, elle allait y avoir droit, j’allais lui écarter ses grosses joues fessières et l’enculer avant qu’elle ait le temps de dire ouf, mais son fourreau encore vachement étroit a raison de moi : je gicle trois ou quatre bons jets bien sentis tout au fond de sa chatte en rugissant virilement mais de façon contrôlée.
Putain, ce qu’elles sont bonnes ces petites Asiates !
Je cloque trois bises sur ses joues gourmandes tandis qu’elle affiche un sourire de victoire, et elle file sans demander son reste.
° ° °
Le soir dit, j’étais à l’appartement (le « studio ») à 18H tapantes.
Je n’eus pas à attendre plus d’un quart d’heure avant qu’on sonnât à la porte.
Heureusement, j’étais venu la veille arranger un peu.
Jenna était là, devant la porte, dans une robe bleue assez courte et qui moulait bien ses formes, chaussée de ses éternelles bottes (celles-ci étaient en daim) et de bas élégants.
Elle serrait un peu nerveusement son sac contre elle ; on aurait dit qu’elle venait à un rendez-vous chez le gynéco pour la première fois.
Je lui souris, l’invitant à entrer avec mon air affable. Elle se détendit un peu.
« Toujours un peu coincée » pensai-je, « la bourgeoise. Pourtant quand elle présente son cul bien ouvert, elle change du tout ou tout et sait bien prendre et recevoir. »
Cette pensée élargit encore mon sourire, inspiré par mes idées salaces.
Jenna avançait dans le salon et écarquilla les yeux. Elle venait de découvrir les « posters » que ...
... j’avais épinglés au mur. Des photos d’elle – ou plutôt où elle était en scène – plus grande que nature :
Jenna à plat ventre sur le chevalet, ses seins pendant, ma queue remplissant sa bouche. La croupe épanouie de Jenna, à l’autre extrémité, avec ma grosse bite bien plantée dans son petit trou. Jenna langoureusement affalée contre la fenêtre, debout, attendant la saillie, sa tête sensuellement tournée vers l’objectif.
Elle regardait, fascinée, se découvrant sans doute pour la première fois sur des photos de plus d’un mètre de large, et d’une telle qualité qu’on pouvait voir le grain de sa peau.
Je souris :
« - Alors, comment tu te trouves, sur les murs ? Belle et bien bandante non ? »
Elle me fit remarquer que sur au moins deux de ces clichés elle était à visage découvert et bien reconnaissable.
Je tentai de la rassurer :
« - T’inquiète, elles sont pour mon usage personnel
— Oui mais si tu fais venir quelqu’un ici, on pourrait me reconnaître là…
— Je ne fais jamais venir personne ici » mentis-je.
Je la fis asseoir et lui tendis la grande enveloppe contenant les clichés que j’avais tirés, en format 21x29.
Elle sortit la liasse de photos et toute émue, se mit à les parcourir lentement, parfois presque choquée de se voir ainsi dominée par la férule et le phallus d’un homme.
Une chose est de se prêter à ce jeu et même d’en jouir en temps réel, en proie à l’excitation sexuelle du moment, une autre est de se contempler sur papier glacé, dans ...