Mes chères cousines (2) - Histoires de Sexe

Mes chères cousines (2)

... Julie un regard qui fit changer son visage d’intriguée à gênée quand elle croisa son regard au mien. Je leur souris et leur répondis que j’en avais eu une en début d’année mais qu’on avait rompu. Emma commençait, un peu tardivement, à s’intéresser au garçon.

Peu après le dîner, je décidai de me brosser les dents et me changer dans la salle de bain mais lorsque j’ouvris la porte et que je me plaçai au lavabo je vis Julie dans son bain, tournée vers moi cachant sa poitrine, surpris, je me cachai les yeux et je m’excusai tout en lui disant que je pars, mais elle me coupa pour me dire en rigolant que ça n’était pas grave et que je pouvais me laver les dents. Je m’étais retourné toujours la main sur les yeux face à elle, puis j’enlevai ma main pour la découvrir en face de moi, les seins plaqués contre le bord de la baignoire ce qui les fit remonter, un large sourire et les jambes tendues en arrière ce qui me laissa une vue sur ses fesses blanches, que son bas du dos creusé, faisait ressortir les formes arrondies. Sa culotte et son soutien-gorge étaient posés grossièrement au pied de ...

... la baignoire et je restai une dizaine de secondes face à elle, comme envoûté par son corps à moitié nu, incapable de me dire que mon regard qui caressait ses fesses et ses seins puisse la gêner, ce qui, une fois mon regard retomber sur son sourire et ses yeux gris, me contredit sa gêne et me fit même penser que cette caresse visuelle aurait même pu lui plaire, voire l’exciter.

Je me tournai et enlevai mon jean et me mis un tee-shirt sous les yeux de Julie, nue, je me brossai les dents et lançai quelques regards discrets à travers les miroirs pour la voir dans la même position regardant mon caleçon avec attention. Je remarquai, avant que je ne la laisse finir son bain, que mon pénis était dressé heureusement pas aux yeux de Julie. Une fois dans ma chambre, j’imaginais Julie, excitée de sa preuve d’impudence, se toucher dans son bain en pensant au pénis qui se dressait en face d’elle et de son effet sur mon esprit, je pouvais presque imaginer le souffle chaud que ses doigts procuraient quand ils entraient et frottaient le long de ses chastes lèvres pour pénétrer à l’intérieur d’elle.