Logement provisoire : Sylvie (3)
Datte: 19/04/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: fantaflo, Source: Xstory
... Sylvie avant d’aller derrière la cabane. Un fois soulagé, vous faites le tour de la bâtisse et voyez alors Sylvie, penchée en avant pour refaire un lacet. Quel cul ! Quel formidable cul ! Vous avez alors envie de venir derrière elle et d’honorer ce fabuleux postérieur. Vous ne bougez pas et attendez qu’elle se redresse, sans perdre une miette du spectacle. Au moment où elle termine, vous faites du bruit et revenez vers elle.
— J’ai un petit creux et il y a des fruits secs dans le sac. On fait une pause ?
— A 200m, il y a un banc avec une jolie vue. Tu résistes jusque-là ?
— Le dernier au banc est un idiot !
Sylvie démarre immédiatement. La surprise vous a scotché sur place. Le temps de réagir, vous avez une bonne dizaine de mètres de retard. Vous partez à sa suite. En courant, vous réalisez qu’il y a certainement plus de 200m. Votre chance. Mais Sylvie résiste. Cependant, partie trop vite, elle baisse tout de même le rythme et peu avant le banc, vous la rattrapez et la dépassez.
— Tu avais dis 200m !!
— Il y avait peut-être un peu plus...
Elle rit et tente de reprendre son souffle. Tout comme vous.
S’asseyant sur le banc, Sylvie enlève sa veste. Elle porte un t-shirt noir, simple et droit. Vous buvez et mangez quelques poignées de fruits. Sylvie se lève pour mettre les papiers à la poubelle.
— Un jour, quelqu’un m’a dit : "J’ai un gros cul".
— C’est le cas, non ?
— J’avais dû mal comprendre. Tu avais dû dire "beau cul".
Sylvie soulève ...
... son t-shirt au-dessus de son nombril. Elle a effectivement des poignées d’amour assez marquées.
— C’est surtout là et au niveau des fesses.
— Abdos, gainage et surtout, corde à sautée. Et monter à pied partout où c’est possible. Même pas besoin d’un coach, même pas besoin d’un fitness, tu peux tout faire chez toi.
— Ça va me prendre des siècles...
— Tu rigoles ? Si tu t’y mets sérieusement et tous les jours, on voit tes abdos avant l’été.
— Arrête...
— Je t’envoie chez une copine qui est coach. Je te parie un café qu’elle te dira la même chose.
— Tu ne te mouilles pas trop !
— Un resto ?
— Un peu mieux.
— Tenu ?
— Tenu.
Vous refaites le chemin en sens inverse. A la voiture, vous appelez Fabienne, votre amie coach sportif et lui passez Sylvie. Celle-ci passera lundi à la salle où travaille Fabienne. Vous rentrez tranquillement. Sylvie semble contente :
— Non seulement ça m’a fait du bien de marcher, mais c’était encore plus agréable de le faire avec toi.
— On pourra refaire.
— Très volontiers.
Vous garez la voiture au parking et montez par les escaliers. Sylvie rit. Devant sa porte, elle vous enlace en posant sa tête sur votre torse. Cette marque d’affection vous touche. Elle murmure :
— Merci de m’avoir montré la voie, de m’avoir fait réagir, de m’avoir donné du courage. Merci de te préoccuper de moi.
Elle vous embrasse sur la joue et rentre chez elle.
Vous êtes ravi d’avoir aidé Sylvie. Et assez fier, à vrai dire. Vous ...