1. Une opportunité tentante 3


    Datte: 19/04/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Accent, Source: Hds

    ... c'était bon. Hé, tu as une bosse dans ton falzar. Tu es gonflé de m'obliger à me branler et de rester immobile, comme si tu t'en foutais. Je t'ai connu plus émotif et réactif autrefois
    
    - Je ne suis pas candidat à un emplo, moi. Et puis nous n'avons pas fini l'examen. Tu ne perds rien pour attendre. Je bande, soit. Restons sérieux : Encore un peu de patience. Combien veux-tu gagner?
    
    -Le plus possible. Je ferai tout ce que tu me demanderas. Je viens de faire le plus dur. Je ne m’en serais jamais cru capable, donc je dois casser tous mes tabous, vaincre les limites de mon éducation passée. Après tout les clients sont derrière leur écran.
    
    - Ton éducation passée ? Fais-moi rire..Tu pourrais faire une scène avec une autre fille? C’est généralement facile. Et faire l’amour avec un homme. L’idéal serait de convaincre Serge de t'accompagner sur nos plateaux.
    
    - Il ne voudra jamais. Je ne veux pas lui en parler aussi longtemps que je n’ai pas amassé assez d’argent pour lui montrer l’intérêt de la chose.
    
    - Donc, si tu veux gagner vite, il faut prouver ta volonté de réussir. Accepterais-tu de faire un essai rapide avec moi, juste pour montrer que tu peux vaincre ta retenue naturelle. Il faut battre le fer quand il est chaud. Or tu t'es admirablement échauffée, un rapport professionnel au stade où nous en somme ne fevrait pas être rebutant. Tu restes sur le canapé, tu me tends les bras. Je m’approche, je t’embrasse…; je te caresse. Et toi, que fais-tu?
    
    - J’ouvre ta ...
    ... braguette et je sors ton engin. Mais tu triches: tu es déjà tout tendu.
    
    - Je ne suis pas en pierre. Tu es une nana super attirante, je bande, ça va de soi. Masturbe-moi un peu, je fais la même chose. Ton petit con est tourné vers la caméra, j’y pose un doigt, je sépare les lèvres, le client se rince l’œil. Pense toujours au client, ce doit être ton unique pensée quoi qu'il arrive à ton corps. Ma bouche descend ton cou, fait halte sur tes tétons, se dirige vers le nombril, poursuit sa route. Je me place entre tes jambes, je jette tes pieds sur mes épaules et je vais m’abreuver de cyprine: je lape, je tète, je mordille. Tu poses tes mains sur ma tête comme pour me repousser, mais tu m’appelles avec passion. Crie dans le micro pour le client, fais lui cracher ses jetons.
    
    - Baise-moi, prends-moi. Claude je n’en peux plus, allez, cesse de jouer, pénètre-moi, baise moi pour de bon, comme autrefois.. Tu vois, j’y arrive. On peut arrêter.
    
    Il y a de la confusion dans ces propos : baiser ou arrêter ? Je ne suis pas sa pensée.
    
    - Tu rigoles, il ne s’est rien passé. Je veux bien arrêter, mais l’essai n’est pas concluant.
    
    - Bon, mais comme tu es un acteur inconnu, le client auquel je pense fort, je vais me mettre à quatre pattes et tu me sauteras par derrière. Je ne verrai pas ton visage, tes émotions. Ce sera professionnel, il n’y aura pas de sentiments.
    
    - D’accord, pour une première fois. Mais au studio, tu obéiras. C'est le client qui imposera les positions à adopter pour ...