1. Marie - Ange & Démon (18)


    Datte: 18/04/2021, Catégories: Trash, Auteur: FredM, Source: Xstory

    ... se penche et vient me sucer les tétons.
    
    — Putain, salope ! Elle a plein de lait.
    
    Pendant ce temps, Abdou se vide dans mon vagin alors que son copain ne se prive pas de lâcher sa sauce dans ma gorge.
    
    Tous deux reculent. Roger reste seul. Il passe d’un téton à l’autre, ses mains enveloppent chaque lobe l’un après l’autre et le presse comme on presse une poire à lavement. Lorsqu’il s’écarte pour respirer, mon lait continue de gicler par saccades. Lorsqu’il se relève, il est radieux, se lèche les lèvres. Cela continue de dégouliner de partout :
    
    — Ça me rappelle quand je tétais les seins de ma femme. J’adorais ça. Putain ça me fait bander.
    
    Sur ce, il défait son pantalon, va entre mes cuisses.
    
    — Putain les mecs vous lui avez balancé de la purée.
    
    Et il m’enfile d’un coup sec. Sa bitte est dure et longue.
    
    — Merci Fred, ça fait un moment que je rêvais de ta femme. Plus d’une fois, j’ai bien failli la coincer contre une palette et lui fourrer ma bitte. J’ai toujours pensé que sous ses airs de grenouille de bénitier elle cachait un tempérament de feu.
    
    Les trois hommes regardent ce papy me baratter comme un jeune dieu. Son mandrin déclenche des bruits de "floc, floc" qui remplissent le bureau. On n’entend que cela, comme si mon vagin faisait caisse de résonnance. Pas de doute que mes bébés se demandent ce qui peut bien faire ce bruit !
    
    C’est extraordinaire. Trois hommes viennent de me prendre. Plusieurs fois j’ai joui, mais de voir Roger me pourfendre ...
    ... ainsi est magnifique.
    
    — Fred. Je peux me finir dans son cul ? Je suis sûr qu’elle aime ça.
    
    — Va mec. Je t’en prie. Attends, on va t’aider.
    
    Fred et Juan se saisissent chacun d’une jambe pour la lever, les transformant en un V qu’il suffit de suivre pour atteindre mon trou du cul sorti de son anonymat et caché sous ma fente.
    
    — Les mecs votre foutre a coulé. Ça va être facile. Tenez-la bien.
    
    Évidemment que ces deux salauds me tiennent bien. En réalité ils ne me tiennent pas, je n’ai pas besoin d’être forcée, juste soutenue afin que Roger ait accès à mon trou.
    
    Il entre comme dans du beurre. Mon cul est depuis des mois le théâtre d’opérations favori de mon mari, prolongeant ainsi la tradition initiée par le boucher, puis Fred et tous ceux à qui il m’a prêté.
    
    La tige glisse dans mon trou sans fin. Seules ses couilles stoppent sa progression.
    
    — Je le savais ! Je le savais !
    
    Répète en litanie Roger qui doit réaliser un fantasme.
    
    Il m’inonde et c’est bon. Je me suis finie à la main, comme une nymphomane, sous les yeux de tous, tapotant mon clito et caressant mes seins qui se remettent à gicler.
    
    Deux jours que Fred ne me touche pas. Alors que je lui demande pourquoi il me punit ainsi, il me répond :
    
    — C’est pour que tu sois bien salope avec nos amis. Eux aussi doivent attendre. Ils vont être bien chauds.
    
    Évidemment lorsque nous arrivons au hangar les trois hommes brûlent d’impatience, mais on sent leur inquiétude : "et s’ils ne voulaient pas ...
«1234...»