Hypnose Mécanique 05
Datte: 18/04/2021,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... partirent de chez eux. Le lendemain les nouvelles putains, viendraient prendre leurs affaires, pour s'installer à l'entrepôt Glandasse. Je suis rentré chez moi vers deux heures du matin. Les jumelles m'attendaient. Elles ont dormis avec moi. Enfin, on a pas beaucoup dormis jusque au petit matin.
Il viens de se passer six mois. Comme je vous l'ai dit, j'ai fait passer chacune des putains pour mes petites amies. Ma réputation de grand séducteur n'est plus à faire à l'université. Certaines filles très jolies, m'ont même branchée. J'ai toujours refusé. Siobanne est folle de moi, mais, suite à mon conditionnement, la jeune fille n'arrive pas à se déclarer à moi. Elle est dépressive de ne pas sortir avec moi, prends des médicaments assez lourds pour tenir. En ce moment, je sors officiellement avec les jumelles. Les deux ensemble. Le fait qu'elles viennent tout les jours m'attendre à la sortie des cours, m'embrassant passionnément à tour de rôle quand elles me voient, me fait encore franchir un palier, dans ma réputation de tombeur. Pour Siobanne, cela devient un enfer, de me voir sortir avec toutes ses filles, tout en ne la considérant simplement que comme une amie. Tous, à l'université, savent maintenant, que le plus beau canon, la fille la plus inatteignable est amoureuse de moi. Je suis dorénavant son seul sujet de conversation. Elle a repoussée des dizaines d'étudiants en leur disant que je suis le seul homme à exister pour elle. Siobanne s'assoit tout le temps à coté ...
... de moi, passe son temps avec moi aux inter-classes, à la coupure. Mange à mes cotés au restaurant universitaire. Puis un jour, un incident incroyable se produit.
On est au beau milieu d'un cours, on prends des notes. Quand, je ne sais pas comment elle se débrouille, le poignet de Siobanne frôle ma main. Ce simple contact l'électrise. La jeune femme folle de moi, morte d'envie de baiser avec moi, a, par ce simple contact avec ma peau, un orgasme puissant. La jeune fille se met à jouir comme une malade, hurlant de plaisir. Tout le monde se retourne, voit la jeune femme crier sa jouissance. Cela dure trois longue minutes, trois minutes à crier, feuler, grogner de plaisir, avant qu'elle ne revienne à elle. Siobanne voit tout les visages tourné vers elle. La jeune femme fond en larmes, quittant rapidement, en courant, l'amphi. Quand elle part, je vois que sa chaise est mouillée, sa cyprine à traversée son string, ainsi que sa courte jupe. Je jubile. Siobanne n'est pas revenu en cours de la journée. Quand je quitte l'université à quinze heures, je suis extrêmement surpris de la voir appuyée contre la portière passager de ma voiture. Je remarque aussitôt que la belle jeune fille est en larmes.
En me voyant, Siobanne se jette dans mes bras. Elle me serre contre elle, sa tête contre ma poitrine.
- Pardon Jonas, j'ai honte, j'ai tellement honte. Si tu savais comme je m'en veux. Mais c'était trop fort, je n'ai pas put résister. Je n'ai jamais autant jouis, mon corps était ...