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Réveillon
Datte: 18/04/2021, Catégories: fh, fplusag, hotel, fête, vengeance, Oral préservati, pénétratio, confession, Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... plus rien à côté. Ils sont peut-être déjà partis. Julien se retire. Il tire sur la capote pour se libérer et d’un geste me montre la salle de bain. Il s’y dirige. Je le remplace quelques minutes après. Rapide toilette. Chacun vérifie que l’autre est « présentable ». Je tire sur le couvre-lit pour cacher notre passage. Dans le couloir, Julien me souffle à l’oreille. — Ce sera notre secret. Moi, je n’en parlerai pas à Armelle. — Moi non plus. — Mais vous étiez ou ? On vous cherche depuis un moment. Quel culot. L’hôpital qui se fout de la charité. Voilà que mon salaud de mari me questionne. Et si je lui répondais : « Mais dans la chambre à côté, pendant que tu baisais Armelle, moi je me faisais enfiler par son mari… » Heureusement Julien est plus diplomate. Et quelle meilleure défense que l’attaque : — Mais nous aussi. Il faut dire que tout le monde se ressemble. Chacun retrouve sa chacune. J’hésite entre culpabilité et colère. Max fait comme si rien ne s’était passé. Il est vraiment bon comédien. Le salaud. Je vais tout balancer… À quoi bon ! dit la petite voix.Tu seras bien avancée. Il te faudra reconnaître que toi aussi… Silence ! Les slows s’enchaînent. Je retrouve une certaine quiétude dans les bras de mon mari. Il m’enveloppe avec tant de tendresse. Nous remontons dans notre chambre. Un signe de la main aux autres qui dansent encore. J’ouvre la porte. J’ai la peur, irraisonnée, que dès que nous serons entrés, Max va savoir. Mais ...
... non. Tout est normal. Je commence à me déshabiller. Lui aussi. Il bataille avec le haut. Moi, je suis déjà nue, heureuse de me débarrasser de mon déguisement que je dois associer à ce qui s’est passé. Max tire sur le bas. Je ne peux m’empêcher de penser à ce qu’a entendu Julien dans le couloir, le « difficile à enlever » que sa salope de femme venait de dire. Il a du mal. Je le laisse faire. Bien fait ! Mais il titube, cherche un appui pour éviter de tomber, les jambes empêtrées par le collant. La commode le sauve. Voilà, il est en slip. Mais je le vois regarder sa main, chercher vers la commode. — C’est drôle. C’est mouillé. Regarde. Il me montre le marbre. Regarde le plafond. — Non, ce n’est pas une infiltration. Il regarde vers le bas, semble découvrir quelque chose, se penche. — Oh ! C’est bizarre. Là aussi. Mais… Ce n’est pas de l’eau… On dirait… Je le vois porter un doigt vers son nez. Il semble perplexe. Je découvre alors qu’au pied de la commode il y a comme une tache sur le parquet de chêne, une tache encore humide, tache informe et pourtant avec une consistance. Mon sang ne fait qu’un tour. Je comprends. Oui je comprends l’humidité ! Je comprends la tache ! Mon jus et du foutre tombé de la capote lorsque Julien l’a enlevée. Je suis paralysée. Je cherche une explication plausible : une femme de ménage qui est passée… un produit de ma trousse de toilette qui a fui… Mais Max se dirige vers la salle de bain. Je l’entends tirer des ...