1. Test de paternité


    Datte: 17/04/2021, Catégories: fh, jeunes, enceinte, fdomine, vengeance, jalousie, chantage, Masturbation facial, Oral 69, pénétratio, Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... son ventre tendu, ses cuisses impatientes de s’écarter, son sexe agréablement odorant, ses lèvres avides de me prendre. À cela, s’ajoutent spontanément ces détails qui rendent sublime une femme heureuse de sa grossesse.
    
    Je plonge entre ses bras, entre ses seins, entre ses fesses. Je finis par plonger dans son sexe jusqu’à effleurer le passager clandestin. Les yeux embués d’émotion, nous faisons l’amour, lentement, profondément, tendrement, follement, inexorablement, jusqu’à la dernière giclée, qu’elle veut recevoir dans sa bouche. Après avoir léché mon sexe et délicieusement prolongé mon plaisir, elle se lève pour aller chercher quelque chose dans le séjour. Superbement nue, voluptueusement femme, diaboliquement enceinte et triomphante, elle revient à côté du lit et déchire le contrat prévu pour vingt-cinq ans.
    
    — Ce que tu viens de m’offrir te libère. J’ai touché du bout du cœur ce que j’attendais depuis si longtemps : sentir un homme s’abandonner en moi, te sentir, toi, t’abandonner en moi, comme en aucune autre femme. Pour la première fois, plus d’Estelle entre nous, juste toi et moi et le plaisir de faire l’amour. Je ne veux plus rien t’imposer. Libre à toi de ne rien changer à nos rendez-vous, ou de disparaître de ma vie. Je ne te poursuivrai plus. Maintenant, laisse-moi, s’il te plaît. Trop de sensations fortes stressent notre petit. Et puis, j’ai presque des mots d’amour au bord des lèvres. Ne compliquons pas la situation. Salut…
    
    C’est le meilleur moyen de ...
    ... m’attacher définitivement à elle. Elle sait pertinemment que le coup de poker en vaut la peine. Après de tels débordements, je ne peux que souhaiter découvrir beaucoup plus intimement cette femme sans foi ni loi, mais dotée d’une si insatiable volonté de plaisir et de partage érotique.
    
    Depuis ce jour, je ne manque aucun rendez-vous, lui offrant à date prévue des orgasmes à la mesure de ses désirs, et de l’avance de sa grossesse. Un soir, peu de temps après mon départ, elle me rappelle pour m’annoncer les premières contractions. Elles ont suivi de près les vagues de plaisir que j’ai provoquées en la caressant tendrement.
    
    L’indescriptible animalité de l’accouchement fait le reste. Dans le sang, l’urine, la sueur, les râles, les insultes, les larmes et le lait qui suinte en réponse aux vagissements libérateurs, des liens indélébiles se tissent. Terrassé pas l’immensité de ce que Christine me permet de vivre à ses côtés, j’ai tout loisir de haïr la salope, d’admirer la femme écartelée, déchirée, violentée par le fruit d’un amour à sens unique, mais aussi de respecter l’abnégation de la mère, dépossédée de son corps le temps qu’une nouvelle vie s’en extraie.
    
    Les jambes tremblantes, le cœur battant, je sors de la maternité où la jeune femme se repose enfin, notre fille contre son flanc. Je réalise alors m’être trompé dès le début. Ni ma giclée de sperme dérobée, ni le contrat pourri ne m’ont lié à Christine. Seule l’inébranlable confiance qu’elle a eue, en elle et en moi, est ...
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