1. Lingerie à vendre


    Datte: 17/04/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Humour Auteur: Léopold, Source: Revebebe

    ... embarrassée car tu ne sais si cela te va vraiment. Il te faudrait un avis, mais ton mari rentrera tard. Je saisis l’occasion, sur un ton très neutre et détaché, pour te proposer mon avis si tu le souhaites.
    
    Je précise que je suis habitué avec les nombreuses personnes que je rencontre et que je pourrai te conseiller si tu l’acceptes. Alors prenant ton air mutin de petite fille rougissante tu écartes les pans de ton peignoir et me laisses voir ton magnifique corps, revêtu de ces quelques centimètres de tissu qui ont le don d’affoler tous les hommes, autant quand vous les passez, que lorsque vous les retirez.
    
    La vision n’est que partielle, car tu gardes ton peignoir entrouvert. Je ne distingue que les bonnets minuscules du soutien-gorge qui soulignent ton adorable poitrine, le triangle du string rouge et juste une petite partie du porte-jarretelles qui épouse délicatement la courbure de ton ventre sous ton nombril.
    
    Je m’enhardis et de dis que si je dois donner un avis il faut me montrer une vue d’ensemble de la parure et, que le peignoir ne me permet pas de me faire une idée.
    
    Tu réfléchis un instant, comme une enfant prise en faute qui a piqué du chocolat dans le placard de la cuisine. Puis avec un petit hochement de la tête, semblant dire « après tout, pourquoi pas ? », tu fais glisser au sol le peignoir de soie d’un geste lent et élégant et tu m’apparais dans la plus érotique des visions, porteuse de ces riens de tissus qui savent si bien enflammer les esprits, et ...
    ... les sens…
    
    Je sens que je bande, et ne veux rien en laisser paraître. J’admire les formes si gracieuses de ton corps, tu te tournes comme un mannequin qui défile, et la ficelle du string ne cache pas grand-chose de tes fesses splendides et fermes, qui m’affolent toujours rien qu’en les voyant.
    
    Je reste bouche bée et profite sans retenue de tes formes dont je ne me lasse jamais. Tu es belle, et si tentante avec ce porte-jarretelles, sans les bas, dont les attaches pendent sur tes cuisses et me font l’effet d’un appel à l’amour.
    
    Tu es tout près de moi, et je ne peux m’empêcher de te frôler de la main et d’effleurer le haut de ta cuisse vers l’intérieur. Tu frissonnes un instant au contact de ma main sur ta peau, je t’attire sur mes genoux et t’enlace tendrement en cherchant tes lèvres. Tu réponds à mon baiser et, en une fraction de seconde, le jeu est oublié et nous commençons à nous caresser avec tendresse et passion.
    
    Je retire le string, pour prolonger le plaisir du jeu, pas le porte-jarretelles, que je te laisse, tant il est excitant de te voir dans cette tenue.
    
    Je commence à te toucher le bord de la vulve et les petites lèvres que tu as si sensibles. Nous sommes là, en pleine après-midi, comme de jeunes amants en train de nous lutiner sur le canapé du salon.
    
    Le temps n’existe plus, je t’embrasse partout, te touche, te redécouvre comme à chaque fois. Je me sens comme toujours, fou amoureux de toi, et je souhaite faire durer encore un peu nos caresses avant ...