Marie - Ange & Démon (16)
Datte: 10/05/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: FredM, Source: Xstory
J’ai conscience de mes pratiques ignobles, une dépravée qui ne peut résister à ses pulsions les plus inavouables. Mais, je suis maintenant bien décidée à aller exciter Georges le boucher. Je passe une petite jupette légèrement plissée et un chemisier à moitié transparent et me voilà sortie dans la rue sans avoir mis aucun sous-vêtement.
Lorsqu’il me propose de le suivre dans la chambre froide pour récupérer mon paquet, je feins la surprise.
J’hésite. Je sais parfaitement que dès que la chaleur monte, cette chambre froide est un grand sujet de conversation.
Je ne compte plus les fois où, quand le boucher sortait du frigo, j’avais entendu une cliente lui dire : « Il fait meilleur là-dedans que dehors, non ? » Et lui d’acquiescer en riant.
Parfois même, si la femme lui plaisait, si elle n’avait pas l’air farouche, il s’enhardissait jusqu’à proposer : « Vous voulez qu’on y aille voir ensemble ? »
Mon absence de réaction vaut acceptation. Cette fois-ci, rien qu’à mon regard, il comprend qu’il a sa chance avec moi. L’occasion est trop belle. Il termine sa commande en cours et s’approche de moi. Il est encore plus direct que jamais, il se penche et me murmure, tout à trac, à l’oreille un « Ce que j’aime surtout, c’est bouffer la chatte des petites filles comme toi. Tu me laisseras faire, dis, tu me laisseras te brouter ? »
Je ne réponds pas, mais lui emboîte le pas. L’instant d’après je le suis entre les rangées de carcasses suspendues de mouton et de veau. À ...
... peine à l’abri des regards il m’a mis la main aux fesses et me dirige en me poussant la main au cul.
— Petite salope, tu n’as pas mis de culotte pour venir voir papa Georges. Hein ? C’est sa grosse bitte que tu veux, pas vrai Marie. Alors tu t’es dit que comme ça, ça irait plus vite. Salope !
Tout en continuant de m’insulter, il a roulé ma jupette en boule autour de ma taille et déboutonné entièrement mon chemisier. En deux temps et trois mouvements, je me retrouve le cul et les seins à l’air.
Il se colle dans mon dos, m’empoigne les seins à pleines mains et commence à les presser. Je sens sa grosse queue durcir contre mes fesses.
— Putain, lorsque tu es rentré dans la boutique j’ai tout de suite vu que tu n’avais pas de soutien-gorge sous ta blouse. Et tu le sais qu’elle est transparente ? Et qu’on voit tes gros seins de petite pute. Ça t’excite ?
Pourquoi tu crois que tu me vois tous les dimanches au premier rang dans l’église ? Et pourquoi, je passe toute la messe à te mater pendant que tu chantes avec notre chorale ? C’est parce que tu me fais bander et pas pour rien. J’ai toujours pensé que sous tes airs de ne pas y toucher tu étais une belle salope, ma fille.
Je savais bien que je finirais par te mettre Marie.
Je le sens me soulever de terre en me tenant simplement par la taille. Instinctivement, je m’agrippe des deux mains à deux gros crochets de fer au-dessus de moi, comme on le fait dans le métro ou dans le bus pour garder l’équilibre. Ma jupe reste ...